177 Responses

      1. Bonjour Jessica , mon principal blocage c’est que je me sens plus en confiance suite aux traumatisme, au fond de moi je sais je peux arriver et je veux sortir de là ? J’ai confiance en vous, sache que je suis très contente de vous connaître, j’ai hâte de commencer la thérapie. D’avance je vous remercie

        1. Bonjour Odette,

          Merci beaucoup pour ton message et pour ta confiance, cela me touche énormément. Je comprends à quel point il peut être difficile de retrouver confiance en soi après avoir traversé des traumatismes. Le fait que tu ressentes au fond de toi que tu peux y arriver est une force précieuse sur laquelle nous allons pouvoir travailler ensemble.

          Sortir de cette situation demande du temps et de la bienveillance envers toi-même, et c’est déjà un grand pas que tu sois prête à entamer ce chemin. Je suis ravie de savoir que tu as envie de commencer la thérapie, et je serai là pour t’accompagner pas à pas dans ce processus, avec douceur et respect pour ton propre rythme.

          Ma méthode est conçue pour t’aider à retrouver cette confiance en toi, sans avoir à te replonger dans le passé de façon brutale, mais plutôt en travaillant sur la libération de ce qui te bloque encore aujourd’hui, tout en renforçant ta sécurité intérieure.

          Je suis également très heureuse de faire ce chemin avec toi, et je suis certaine que, ensemble, nous pourrons avancer vers ce que tu souhaites. N’hésite pas à me contacter dès que tu es prête, et je suis impatiente de commencer cette aventure avec toi.

          À très bientôt, et encore merci pour ta confiance !

      2. Bonjour,
        Gros blocage sur mes compétences à réussir avec syndrome de l’imposteur, de la looseuse. Donc je ne me lance pas et pourtant j’ai une forme de certitude que je peux apporter beaucoup aux autres tout en cherchant quoi et comment ⁉️🤔

    1. Bonjour Jessica,
      Le principal blocage est mon syndrome de l’imposteur donc.sensation d’être illégitime ou de pas mériter de réussir, doublé d’un mode de survie dysfonctionnel consistant à « rester cachée » et ne pas briller, être brillante, car enfant mes competences étaient vite remarquées y compris à l’école et ayant grandi dans un environnement scolaire violent mais pas que, j’ai appris à ne plus montrer ce que je vaux pour me préserver des jalousies, de la haine et de la cruauté qui allait avec ces sentiments chez les autres envers moi. Voilà voilà ! Sinon comme toi, des milliers d’heures de formation, je connais le trauma ses conséquences physiques sociales psychologiques pour les avoir étudiées en vue de comprendre comment je (dys)fonctionnais. Travailleuse sociale, Formée à l’ikigai, l’eft, intérêt pour les constellations systèmiques, etc, etc.merci pour le cadeau 😉

      1. Bonjour Emma,

        Merci pour ton message et pour ta sincérité. Le syndrome de l’imposteur peut effectivement être un frein puissant, surtout lorsqu’il est lié à des expériences passées qui t’ont poussée à rester discrète pour te protéger. C’est admirable que tu aies pris le temps de comprendre ces dynamiques et que tu sois déjà formée à de nombreuses approches.

        Dans ma formation, nous travaillons spécifiquement sur des outils efficaces pour renforcer la légitimité professionnelle et le droit de briller. Nous abordons de manière approfondie la question du mérite et du droit de se mettre en avant, afin de te permettre de surmonter ces blocages et de t’affirmer pleinement dans ton rôle d’accompagnante.

        Si tu souhaites explorer comment cette approche pourrait t’aider à avancer avec plus de confiance et à dépasser ces obstacles, je serais ravie d’en discuter avec toi. N’hésite pas à me contacter en privé pour échanger davantage.

        À bientôt !

    2. Je crois que mon blocage du syndrome de l’imposteur m’occasionne beaucoup doute et de culpabilité et qu’il serait dû à ma façon de me percevoir. Je me sens incapable d’aider les autres si je suis dans cet état. Celle met en colère de ne pas incarner ce que je prône et de ne pas arriver à prendre soin de moi.

      1. Bonjour Christine,

        Je comprends tout à fait ce que tu ressens. Le syndrome de l’imposteur peut être très pesant et nourrir des doutes et de la culpabilité, surtout lorsque l’on aspire à aider les autres. Se percevoir comme « incapable » simplement parce que l’on traverse des moments difficiles est une réalité que beaucoup de personnes engagées dans l’accompagnement vivent.

        Cette colère que tu ressens de ne pas incarner ce que tu prônes est tout à fait légitime. C’est frustrant de ne pas se sentir alignée avec ses valeurs ou de ne pas réussir à prendre soin de soi comme on le souhaiterait. Mais il est important de te rappeler que ce chemin vers l’authenticité et la cohérence est un processus, et non un état permanent à atteindre.

        Le fait que tu sois consciente de ces blocages et de cette perception de toi-même est déjà un grand pas en avant. Travailler sur ces croyances limitantes, sur cette manière de te percevoir, peut t’aider à te libérer de ce poids. Ma formation pourrait te soutenir dans ce processus, en t’aidant à renforcer ta confiance en toi, à te reconnecter à tes ressources intérieures, et à avancer vers une version de toi plus en phase avec ce que tu souhaites incarner.

        Elle te permettrait d’explorer comment prendre soin de toi en profondeur, tout en apprenant à accompagner les autres d’une manière qui soit également bienveillante pour toi-même. Tu pourrais ainsi mieux te soutenir, te comprendre, et commencer à incarner pleinement ce que tu veux offrir aux autres.

        Si cela te parle, je serais ravie d’échanger davantage avec toi pour voir comment je peux t’accompagner sur ce chemin.

        Merci pour ton partage sincère, et n’oublie pas que tu n’es pas seule dans cette démarche. À bientôt, j’espère !

  1. Bonjour Jessica,
    J’aspire à être une accompagnante de qualité et malgré toutes les formations que j’ai faites, je ressens encore des blocages qui m’empêchent de m’épanouir pleinement dans mon travail.

        1. Je comprends ton frustration. Parfois, même après avoir levé des blocages conscients, quelque chose de plus profond peut encore nous retenir. Procrastiner sans savoir pourquoi est un signe que peut-être il y a une peur ou une croyance plus subtile qui agit en arrière-plan.

          Dans ma formation, nous allons au-delà des outils classiques. On travaille sur ces freins invisibles, sur ce qui empêche réellement d’avancer, même quand tout semble être en place. L’objectif est de t’aider à identifier ces derniers obstacles pour que tu puisses enfin avancer avec fluidité.

          Il ne s’agit pas seulement de lever les blocages, mais de comprendre ce qui, en toi, continue à résister au changement. Ensemble, on peut transformer cette inertie en élan. Tu n’es pas seule dans ce processus, et il existe des solutions pour enfin te libérer et avancer.

    1. J’accompagne les personnes dans leurs projets professionnels depuis 8 ans et j’ai fait une formation en Gestalt therapie pendant 3 ans.
      Je souhaite vivement travailler et accompagner les personnes par le corps. Je ne cesse de réfléchir à un nouveau projet pour me mettre à mon compte et surtout faire ce qui me ressemble et qui me permet d’être pleinement épanouie tout en accompagnant les personnes à se sentir alignées et mieux vivre.
      Je réfléchis à la danse libre mais la présentation de ta formation m’intéresse également. Je ressens le besoin d’en savoir plus, d’avoir des techniques pour me sentir légitime et vivre de ma passion d’accompagnante.

      1. Bonjour Cassin,

        Merci pour ton commentaire ! C’est formidable de voir que tu cherches à t’épanouir pleinement à travers un projet qui te ressemble, comme la danse libre.

        Il se trouve que plusieurs femmes ayant participé à ma formation SomaLuna ont effectivement intégré des pratiques psychocorporelles et somatothérapeutiques à leurs ateliers de danse. Elles ont trouvé ces outils très efficaces pour enrichir leurs approches et offrir un accompagnement encore plus complet et aligné avec leurs passions.

        Si tu souhaites explorer comment ces techniques pourraient compléter ton projet de danse libre et t’aider à te sentir encore plus légitime dans ton accompagnement, je serais ravie d’en discuter avec toi. N’hésite pas à me contacter en privé pour en savoir plus.

  2. Bonjour Jessica !
    Je sais que le hasard fait bien les choses, j’aspire à devenir accompagnant, je pense avoir beaucoup de blocage qui m’empêche d’être celle que je veux être.
    Mon plus gros blocage la peur

    1. Bonjour Vaiana, merci pour ton message et pour ton partage.
      Je comprends que la peur est ton plus gros blocage, celui qui t’empêche d’être celle que tu veux.
      As-tu déjà une idée de qui tu serais sans cette peur ?

      1. Bonjour,
        Le principal blocage est le manque de confiance en moi qui va de paire avec le fait que je ne me sens pas épanouie en tant que femme

        1. Bonjour Sandrine,
          Je te remercie de partager ce que tu ressens. Le manque de confiance en soi et le sentiment de ne pas être épanouie en tant que femme sont des expériences que beaucoup d’entre nous traversent, moi y compris.

          Je comprends bien ce que tu vis, car j’ai moi-même affronté ces mêmes dynamiques. Ce n’est jamais facile, mais je peux te dire que prendre conscience de ces sentiments est déjà un premier pas important.

          Ma formation est conçue justement pour t’aider à gagner confiance en toi et en tes capacités. Elle t’offre des outils et des techniques qui te permettront de retrouver ce chemin vers l’épanouissement, à ton rythme, et en respectant ta propre évolution. Si cela te parle, je serais ravie d’en discuter davantage avec toi et de t’accompagner sur ce chemin.

      2. Bonjour,
        Je ne suis pas accompagnante, simplement jeune prof de yoga qui débute. Je dirais que mon principal blocage c’est la peur de ne pas être légitime et à la hauteur par manque d’expérience. Du coup je n’ose pas me lancer et quitter un poste de fonctionnaire confortable financièrement. Pourtant tout ce qui est somatique me passionne et j’aimerais vraiment apprendre et expérimenter encore plus en profondeur ces techniques. Pour ensuite partager aux autres mes découvertes.

        1. Bonjour Olivia,

          Merci beaucoup pour ton message et ta sincérité. Ce que tu décris est une expérience que beaucoup rencontrent en début de parcours, surtout lorsqu’il s’agit de quitter une situation stable pour suivre une passion. La peur de ne pas se sentir légitime, surtout par manque d’expérience, est tout à fait normale.

          Cette peur, bien que compréhensible, ne doit pas t’empêcher d’avancer. Ce que tu peux faire, c’est augmenter ta fenêtre de tolérance au changement en procédant par étapes. Tu pourrais garder ton emploi actuel tout en lançant ton activité en douceur, en parallèle. Au fur et à mesure que tes entrées augmentent et que tu te sens plus à l’aise, tu pourrais progressivement réduire ton temps de travail dans ton poste de fonctionnaire. Cela te permettrait de construire ta nouvelle activité sereinement, jusqu’à ce que tu puisses en vivre pleinement.

          Ma formation pourrait t’aider à gagner cette confiance en toi, à approfondir tes compétences somatiques, et à t’accompagner dans cette transition de manière réfléchie et progressive. Si tu veux en discuter davantage ou explorer comment cette formation pourrait t’aider à franchir cette étape, je serais ravie d’échanger avec toi.

          À bientôt, j’espère !

    2. Bonjour je suis consciente de la.puissance du corps sur l’esprit ayant moi même vécu des traumas. Mon plus gros blocage en tant que thérapeute est ma procrastination .

    3. Bonjour,

      J’aspire à devenir dans les moi a venir accompagnante. Mais mon plus gros blocage est la peur et la légitimité.jai peur de ne pas réussir et ce qui fait que je procrastine énormément… j’aimerai me sentir mieux à l’intérieur afin de pouvoir m’épanouir personnellement et professionnellement.

      1. Bonjour, merci pour ton message.
        Tes peurs sont tout à fait raisonnables car accompagner demande d’avoir les ressources pour retrouver son équilibre intérieur.
        Dans la formation SomaLuna, je propose d’apprendre à s’accompagner soi-même avant d’accompagner les autres.
        Exactement pour que tu puisses ressentir de l’intérieur que tu as acquis les capacités et les outils nécessaires pour offrir un accompagnement de qualité.

  3. Bonjour Jessica,
    J’aspire à être une accompagnante, mais je ne me sens pas légitime, et j’ai peur de jouer un rôle qui ne serait pas le miens, être une pâle copie de ce quoi j’aspire à être, j’ai peur de décevoir et de me décevoir, d’être jugée comme n’étant pas à ma place… ajouté à cela j’ai moi-même des traumas d’enfance encore bien présents qui me font perdre confiance en mon potentiel, mais une chose est sûre c’est que j’ai à cœur d’aider, soutenir et faire grandir notre monde

    1. Bonjour Jennifer, merci pour ton partage.
      Je témoigne de ce qui t’habite et de ce que tu portes dans ton coeur.
      Et je ne peux que te dire que ce que tu énumères te permet d’avoir une grande sensibilité qui fera de toi une accompagnante unique.
      Car l’aspiration d’être soi, la volonté de ne pas décevoir, ni d’être déçue, avec ce que tu as vécu dans ton enfance sont une bonne combinaison pour devenir une professionnelle qui fait attention à ce qu’elle propose.
      Comment cela atterrit pour toi ?

      1. Cela fait sens pour moi.. en effet cette sensible pourrait être une force… si j’y met de l’amour et que je retire la peur ❤️🙏

  4. Bonjour Jessica, je suis entrain de finir une formation pour être accompagnante mais je ressens le syndrome l’imposteur. J’ai l’impression que je n’ai pas les capacités et comme j’ai beaucoup procrastiner durant cette formation j’ai l’impression de manquer connaissance.. et aussi étant encore mal dans ma peau et dissocier c’est dur pour moi de me sentir légitime d’aider les autres ..

    1. Merci Emilie pour déposer en toute honnêteté ce que tu traverses.
      Sache que le fait de dissocier est très énergivore, cela pourrait expliquer la procrastination.
      Comment cela atterrit pour toi ?
      Si tu sens que quelque part, c’est juste, je te conseille de d’abord t’occuper de toi, de recréer ta sécurité intérieure pour pouvoir réhabiter ton corps pour ne plus dissocier.

  5. Bonjour, je suis en plein bilan de compétence et en phase d’exploration. Ma finalité : rayonner le vivre autrement, rendre la vie plus joyeuse.
    J’ai tapé dans le moteur de recherche tout ce qui me fais vibrer et fais echo et sens en moi : somatothérapie, théorie polyvagale, breathwork, tantra. Et me voilà sur ta page et cette video c’est juste Whaouu déjà. Je veux en savoir plus ! Je vais surfer sur ton site….. Merci d’avance
    ce qui me ralenti : manque de structure et d’organisation je suis une rebelle aux injonctions et surtout les miennes !!

    1. Bonjour Camille, j’adore quand la vie fait ce type de clin d’oeil 🙂
      Bienvenue ici, chez les rebelles ! J’espère que tu te sentiras à la maison parmi nous.
      Ma formation t’offrira de la structure, de l’organisation tout en te permettant de continuer à construire ta pensée critique.
      Avec moi, pas d’injonctions, ni de formules toutes faites que l’on applique à tous.tes.
      Qu’as-tu pensé de cette première vidéo ?

  6. Bonjour Jessica,
    J’ai une âme de soignante, de thérapeute. Je suis une esthéticienne-masseuse qui se rend de plus en plus compte que les personnes que je touche libère par la parole, les douleurs corporelles chroniques, les cicatrices que j’observe. Les femmes sont traumatismes, blessées par la violence conjugale et la misogynie.
    Je viens de sortir de 34 ans d’emprise et je suis à ma deuxième thérapie. Selon mon psychologue je suis en phase d’expansion. Je mets en place ma nouvelle vie et je me dis que le parcours de sortie de cet enfer et de soins obligatoires ne doit pas resté secret donc je témoigne dès que l’occasion se présente pour aider celles qui vivent cela.
    Je me rends compte qu’en Métropole, en Guyane où je réside actuellement la violence faite est tellement banale car la place de la femme doit restee celle de la soumission…Pas plus tard que ce matin le voisin drogué de ma mère était entrain de frapper sa compagne. Personne n’a appelé les policiers car c’est la loi de la peur des représailles. Ma mère vit dans cette cité depuis presque 40 ans et l’environnement social à changé : il y réside de nombreux jeunes désœuvrés, sans perspectives d’évolution qui se droguent et boivent pour faire passer le temps.
    Personnellement, je refuse cet obscurantisme.
    Je suis partie en métropole après mon bac pour étudier et revenir en Guyane travailler. J’ai été en couple jeune avec mon petit ami avec lequel je me suis mariée car il intégrait à peine l’armée française. ..J’ai vécu des années de disputes, tromperies, de sorties tous les week-end de mon ex mari qui se rendait en boîtes de nuit pour boire et rencontrer d’autres femmes, de violences sexuelles…Je ne me suis jamais laissé faire et à chaque fois que je décidai de m’en aller il refusait et refusait le divorce.
    Cet homme a exercé une grosse emprise sur ma personne et je ne m’en rendait pas compte. Il a su m’éloigner un temps de ma famille et me faire croire que ma famille ne m’aimait pas. Et il était tellement toxique que je l’ai découvert au fur et à mesure tous ces jeux dangereux.
    À la naissance de mon fils, la responsabilité vis à vis de mon fils et la force acquise de maman m’ont aidée après deux burn out de prendre la décision de divorcer quand j’ai découvert son infidélité avec sa collègue de travaille la periode où je venais de débuter mon activité professionnelle en qualité d’entrepreneure. Il était excessivement jaloux, abusif, alcoolique…
    Quand mon fils a eu 6 ans je me suis faite aidée par une psychologue pour garder l’énergie mentale et arriver jusqu’au bout du divorce. Après le divorce je suis rentrée en Guyane et il m’a rejoint 1 an après nous avons cohabiter presque 4ans et demi avec du harcèlement de sa part d’un remariage, harcèlement sexuel, moral, financier …et cela fait à peine 1 an que je suis partie et maintenant je vais déposer un dossier au pénal et deux autres aux affaires familiales pour boucler la boucle et sortir définitivement de ce passé douloureux, toxique et dangereux : j’ai coupé les ponts définitivement avec cet homme et ses familles complices.
    À presque 53 ans, je me suis autorisée à vivre et à bien vivre au nom du Dieu de l’univers et continuer à aider mon fils qui vent d’obtenir son brevet du collège.
    Merci à vous de me lire, soyez heureuse Jessica.

    1. Merci Valérie pour ton partage et je suis ravie que tu l’as fait avec moi.
      Tu peux être fière de toi, de ta force et de ton courage pour avoir pu dire que non à ses violences pour enfin aller vers ce qui est important pour toi.
      Il est clair que les femmes sont celles qui souffrent de la virilité et malheureusement partout dans le monde.
      C’est pour cela que ma formation se destine en partie aux femmes, nous avons un vrai besoin de changement de cette oppression systémique qui nous martyrise. Le massage et l’esthétique contribuent aux bien-être des femmes. De tout coeur avec toi dans cette nouvelle phase de ta vie et de celle de ton fils.

    1. Bonjour Aurélie, merci pour ton partage.
      Tu touches une dynamique assez profonde chez beaucoup de personnes : le faire un choix.
      Ce qui paraît simple pour certains peut être très difficile pour d’autres.
      As-tu déjà fait une liste pour t’approcher de ce qui pourrait le plus te correspondre ?
      Cette liste pourrait avoir deux colonnes : l’une ce que je veux, l’autre ce que je ne veux pas du tout.
      J’espère que cela t’aidera. Si tu as besoin de plus d’aide, sois libre de répondre ici.

  7. Merci pour cette vidéo qui me parle beaucoup. J’ai accumulée des heures de formations et d expériences personnelles et je me rends compte qu’il me manque toujours des pièces du puzzle pour oser me lancer. Un besoin de structure et de confiance en ce que j’ai envie de proposer. J’ai le pourquoi mais pas le comment.. trop de possibilité d’action.. donc je ne commence jamais.

    1. Bonjour Laurene, merci pour ton retour.
      Comme je te comprends, ce manque de pièce du puzzle pour oser se lancer, oser commencer …
      Et j’honore cela, car ta quête de structure et de confiance te permet de naviguer pour aller chercher le comment faire.
      Car tu veux bien faire et cela est d’une noblesse à mes yeux.

  8. Bonjour Jessica,
    Je suis déjà accompagnante en tant que thérapeute familiale et plutôt épanouie dans mon activité, après un long chemin de croissance personnelle et professionnelle nourri par de nombreuses formations, des thérapies individuelles et de groupe, la sororité rencontrée dans certains cercles de femmes ainsi que mes expériences intimes. De façon complémentaire à mon activité actuelle, j’envisage de devenir également sexothérapeute. Ayant par ailleurs de plus en plus de patientes présentant des traumatismes (notamment sexuels) j’aimerais gagner en connaissance et donc en efficacité et en impact dans mes accompagnements, pour permettre au féminin blessé de se réparer en douceur et de s’épanouir à nouveau, y compris au plan sexuel.
    Merci infiniment.

    1. Bonjour Jennifer,
      Merci pour ton partage.
      Quelle belle mission que d’aider les femmes à pouvoir retrouver un chemin d’épanouissement suite à des violences sexuelles.
      Tu n’as pas choisi le chemin le plus facile et cela est honorable.
      Car travailler ainsi, c’est entendre leurs récits, sentir leur souffrance et vibrer avec leurs victoires.
      Je suis tout à fait d’accord, qu’il faut s’informer pour accompagner des personnes à retrouver l’épanouissement quand elles ont vécu des expériences sexuelles violentes.
      Pour réellement les aider, je te recommande ce que j’enseigne à mes élèves : de t’informer trauma, te former trauma et de leur proposer un accès vers la ré-appropriation de leur corps et de la dimension sacrée dans la sexualité qui va leur permettre de transcender leur vécu.

  9. Bonjour Jessica, bonjour à toutes, merci pour cette première vidéo.
    Mon plus gros blocage est financier.
    Non pas que j’aie peur de dépenser de l’argent, j’en ai déjà dépensé beaucoup par le passé (des centaines de livres et des dizaines de formations) pour nourrir ma soif d’apprendre et pour travailler en autonomie sur moi-même et mes traumas.
    Cela m’a donné envie d’accompagner les femmes comme j’aurais aimé l’être moi-même, seulement je n’ai que des connaissances théoriques et très peu de connaissances pratiques pour accompagner et transmettre (sans compter que bien que j’ai déjà beaucoup avancé, j’ai encore moi-même du chemin à parcourir).
    Malheureusement, les problèmes de santé sont venus frapper à ma porte, des maladies assez lourdes, diagnostiquées après plusieurs décennies d’errance médicale, qui ne permettent plus de travailler en tant que salariée à temps plein. Je dois donc vivre, ou plutôt survivre, avec une pension d’invalidité de 700 € mensuels, ce qui ne me permet plus de financer mes soins de santé, et encore moins la formation dont j’aurais besoin pour devenir accompagnante (toutes mes demandes de financement ont été refusées car les organismes ne prennent en charge que les formations « conventionnelles »).
    J’aimerais pourtant tellement travailler à ma mesure, en respectant les limites que m’impose mon état de santé, et en exerçant à mon compte depuis chez moi pour plus de confort et de liberté, mais n’ayant aucun diplôme, aucune qualification, aucune compétence dans l’accompagnement, je me trouve dans une impasse.
    Cela me frustre car je me dis que j’ai beaucoup à donner et qu’à 42 ans, il est trop tôt pour être en retraite anticipée pour invalidité. J’aimerais trouver un moyen de contribuer moi aussi à ce monde dans lequel je vis, en le rendant un peu meilleur en aidant les femmes à se libérer de leurs traumas.
    En plus je connais une personne qui suis actuellement la formation et qui ne m’en a dit que du bien, donc je suis convaincue que c’est une formation transformatrice et de qualité.
    Merci de m’avoir lue.

    1. Bonjour Céline, merci pour ton partage.
      Venant d’un milieu modeste, sache que j’ai à coeur d’aider les personnes qui ont des difficultés financières.
      C’est d’ailleurs pour cela que je propose un plan de paiement très grand (en 36 mois) pour rendre accessible ma formation à toutes.
      Aussi, il y a la possibilité de « récupérer » ton investissement en proposant un cercle mensuel.
      Dans la formation, je vous explique comment faire.

      J’espère que ce j’ai mis en place peut t’aider à aller vers ce à quoi tu aspires.
      Si pas, contacte moi en privé.
      Jessica

      1. Merci infiniment Jessica pour ces précieuses informations. Et merci d’être aussi inclusive, à tous points de vue, ça fait chaud au cœur de savoir qu’il existe des safe places comme celle que tu as créée.

  10. Merci pour cette belle capsule vidéo!
    Je suis fondatrice d’un centre de beauté et santé qui existe depuis 25 ans. Je développe le côté spirituel depuis 2 ans mais j’ai de la difficulté à trouver ma voie, celle qui correspond à mon être authentique. Je suis partagé entre deux mondes: sciences technologies et spiritualité.

    1. Bonjour Stéphanie, merci pour ton retour.
      J’ai envie de te dire que tu n’as pas besoin d’être partagée entre le monde scientifique et la spiritualité.
      Il y a beaucoup de choses que nous ressentons qui sont aujourd’hui étudiées par les sciences et sur lesquelles, nous pouvons enfin poser des mots. Il existe beaucoup de pratiques qui sont reconnues comme étant efficaces.
      Puis, la spiritualité est quelque chose d’intime que chaque personne vit à sa manière, un peu comme la sexualité.
      Il n’y a pas un qui se ressemble, ni un modèle qui fonctionnerait pour tout le monde.

      Dis moi comment cela atterrit pour toi.

  11. Bonjour Jessica
    Merci pour cette première vidéo, je me retrouve un peu dans ton parcours, j’ai fais plusieurs formations pour moi-même avant tout et aussi pour les autres, beaucoup d’énergetique et de spirituel qui mon amener à devenir une accompagnante du féminin. Je n’y aurai pas cru il y a 2 ans mais la vie m’a amené à creuser dans mon propre parcours de femme en déconnexion avec ma sexualité et ce que je refusais de voir. Aujourd’hui j’avance je me suis former au massage tantra pour femme et j’y trouve un réel plaisir à voir ses femmes se réapproprier leur corps. Seulement je sens qu’il me manque quelque chose, « la formation  » qui va m’aider à poser ma signature d’accompagnante de femme sacrée. J’ai quitté mon ancien travail fin juin pour me consacrer vraiment à ce chemin de vie, reste à faire le bon choix.

    1. Bonjour Cathy, ravie que notre quête commune pour trouver notre signature unique nous réunisse.
      Etant ma formation, je te dirais que tout ce que je propose va te permettre de découvrir et développer ta signature unique.
      Car je trouve qu’au plus, nous sommes libres et nous-mêmes, au plus, c’est fun !
      Maintenant, cette série de 4 vidéos, te présente ma méthode, mes outils, mon parcours et ma formation afin que tu puisses choisir de manière consciente et éclairée ce qui te convient le mieux.
      Grâce à cela, je peux me vanter d’avoir un taux de satisfaction très haut 🙂

    1. Je suis d’accord avec toi, car régler tes traumas te permettra de te réguler afin de développer ta qualité de présence pour pouvoir accompagner.
      C’est exactement ce que je propose dans ma formation : apprendre à s’accompagner avant d’accompagner les autres.

  12. Bonjour, J’aimerai être ou devenir l’accompagnante qui m’a manqué ou que je n’ai pas trouvé pour moi des mes problèmes personnels et que je sais que les traumas qu’il faut réussir à les traverser à les comprendre pour avancer du moins s’en libérer; JE voudrais apprendre et devenir cette accompagnante pour pouvoir accompagné des personnes qui ont besoin à un moment té de leur vie, une personne qui est à l’écoute et peut donner des pistes pour pouvoir avancer sur leur chemin.

    1. Merci pour ton partage, j’aime beaucoup le fait que tu souhaites apporter ce qui t’a manqué et ce que tu n’as pas trouvé.
      Je t’avoue que je me suis aussi construite de cette manière et je résonne beaucoup avec toi.
      Bienvenue !

  13. Bonjour Jessica,
    Oui on peut dire ça, 4h du mat peut déjà être considéré comme un bonjour (insomnie quand tu nous tiens).
    Je suis actuellement en plein reset avec moi même.
    Ancienne suicidaire je me suis fais la promesse de ne plus jamais retomber si bas.
    Pas toujours évident.
    Il y a 4 ans j’ai découvert le développement personnel et depuis je suis des formations, je lis beaucoup de livres, suis des masterclass etc. La santé mentale et physique est devenu hyper importante à mes yeux et j’aimerais pouvoir en faire mon métier ? Mais comment savoir si c’est vraiment ce que je veux, si j’en suis capable, si les gens prendront une personne au serieux alors qu’elle gère encore des choses dans sa propre vie.
    J’ai quitté mon job récemment pour éviter une énième dépression.
    Ne sachant pas quoi faire, insta m’a suggérer ta page. Directement j’ai été attiré. Un signe? Je ne sais pas …

    1. J’adore Tiziana comment ton insomnie t’a guidé vers mon travail.
      Merci pour ton partage. Bienvenue ici.

      Je comprends tes questions qui sont tout à fait légitimes.

      Mais avant de répondre à celles-ci, j’ai envie de te dire que quand une personne se pose ces questions, elle montre des signes de maturité et de responsabilité. Donc pour moi, c’est déjà un signe que tu seras attentive à ce que tu offres.

      Comment savoir si tu veux accompagner ? Si tu en es capable ? Je n’ai pas de réponses à te donner à ces questions. Maintenant, sache que mes élèves quand elles reçoivent la méthodologie d’accompagnement sont invitées à échanger plus de 50 heures de séances. Cela en plus de leur permettre de découvrir la méthode, elles peuvent aussi la tester, et avoir des retours de leurs collègues. Ainsi, elles sont sûres de ce qu’elles veulent et en plus, elles reçoivent un feedback honnête sur leur capacité.
      Souvent, il y a des femmes qui ont rejoint la formation pour elles et qui ont ensuite décidées d’accompagner.
      Sache que si tu rejoins la formation et que tu te rends compte que tu ne souhaites pas accompagner, tout ce que cette formation t’aura apporté personnellement sera tellement bénéfique que tu en auras pour ton investissement.

      Est ce que les gens vont te prendre au sérieux malgré que tu n’as pas tout réglé dans ta vie ? Je ne connais aucune personne qui a tout réglé dans sa vie. Maintenant, suite à une formation comme celle-ci, tu auras tellement bossé sur toi, que tu sentiras la différence. Ce qui te permettra de développer ta qualité de présence durant tes séances. Plus, tu auras une méthodologie qui est efficace pour permettre aux personnes de se sentir mieux et d’avoir des changements dans leur vie car nous travaillons le système nerveux.

  14. Bonjour
    J’adore à être dans l’accompagnement et je suis en train de quitter mon emploi après un burn out. Je voudrais permettre aux femmes de libérer tout ce qui les bloque dans la vie et les empêche de faire rayonner leur plein potentiel et leur authenticité, mais bien sûr il faut d’abord que je prévienne à le faire moi-même et à passer à l’action!😏

    1. Bonjour Amandine, merci pour ton commentaire.
      Je suis ravie de lire ton envie d’aider les femmes.
      Je suis d’accord avec toi, s’occuper de soi d’abord et puis des autres, quand nous sommes suffisamment nourrie.

  15. Bonjour Jessica

    ma plus grande frustration aujourd’hui est de manquer d’outils pour accompagner les femmes à se transformer. Je pratique des soins énergétiques et j’accompagne les personnes qui le souhaitent à améliorer la confiance en soi, retrouver la joie de vivre, la motivation,… par des techniques de braingym, yoga, respirations. Je suis également professeur de yoga. Ces 4 dernières années j’ai fait un gros travail sur moi de guérisons des blessures de l’âme entre autre mais aussi des stages tantra et tao de la femme. Je souhaite maintenant mettre au service des femmes tous ces outils mais il me manque encore des techniques de coaching et des outils pour libérer les traumas notamment. Bien sûr, en tant que pratiquante et enseignante de yoga, j’ai besoin de passer par le corps pour guérir et rester ancrer, et donc je crois beaucoup à l’efficacité des méthodes psychocorporelles.

    1. Bonjour Gaëlle, bienvenue ici.
      Beaucoup de mes élèves, enseignantes de Yoga ont complémentées leur activité et offrent des séances individuelles d’accompagnement à leur clients ainsi que des stages d’un weekend.
      Comme toi, j’ai besoin de passer par le corps avant tout…
      Je suis sûre que tu vas trouver ce que tu cherches dans ma formation :
      des techniques et des outils de coaching (et de thérapie psychocorporelle, de sexothérapie, de Tantra, de Tao, de Breathwork et de Bodywork) pour libérer les traumas tout en passant par le corps et en proposant au corps et au mental de se réconcilier.

      1. merci pour ta réponse. J’ai hâte de recevoir ta vidéo bonus mais je ne l’ai pas encore reçue, est-ce normal ou suis je trop impatiente ?

  16. En pleine recherche d’ une reconversion, je me demande quel métier faire . La médecine douce me fascine . Je me questionne si je dois m’ orienter vers ce chemin. Je n’ ai pas beaucoup de confiance en moi . Merci pour votre reponse

  17. Bonjour,
    Therapeute en exercice, en psycho corporel et psycho energetique. J’ai plusieurs pratiques dont des très intuitives et d’autres plus protocolaires. Toutes me régalent. J’ai de bon retours. Toutefois pour certains clients je sors de séance avec le doute : était ce assez? Trop? Juste? Je me sens encore trop attachée à la visibilité immédiate du « résultat ». mentalement je sais que ca prend un peu de temps, que les changements subtils peuvent être transformateurs, je l’ai vécu. Et pourtant… J’aimerai juste être plus confiante dans le fait d’être juste et moins attachée à l’effet « wow »

    1. Bonjour Frédérique, merci pour ton partage.
      Quand on peut créer un effet Wow à ses clientes, sans avoir besoin d’en faire trop ou de sentir que ce n’est pas assez,
      quand on a une certaine maîtrise de sa méthode, on se sent moins attachée à cet effet.
      Car on sait que ça va venir, que plus tôt ou plus tard, ça va se passer sans que l’on se déséquilibre.

  18. Bonjour Jessica et merci pour cette vidéo inspirante. Ton histoire me parle énormément car je suis dans l’accompagnement depuis près de 20 ans et à mon compte depuis un peu moins d’un an, mais mon activité ne décolle pas, je ne parviens pas à mettre le doigt sur la méthode que je souhaite appliquer. Je m’éparpille, je teste et mélange tout ce que j’ai appris (et comme toi j’en suis à plusieurs milliers d’heures de formations, coaching, lectures, etc…). C’est là ma frustration. Je me sentirai épanouie comme accompagnante quand mes clientes se pousseront au portillon pour bénéficier de mes services et surtout parce que j’aurai la joie et la satisfaction d’avoir réellement transformé leur vie !

    1. Bonjour Stéphanie, merci pour ton partage.
      Comme je te comprends, il est difficile de trouver sa signature quand on nous a seulement appris à accompagner au travers de nos outils.
      C’est pour cela que dans la formation, une partie très importante est de construire le nécessaire pour ne. pas avoir besoin de se cacher derrière ses outils.

  19. Je ss psychologue et thérapeute depuis 20 ans. Mon blocage actuel est me sentir fatiguée… ds mes thérapie, fatiguée de trop de traumas des autres. Je sens que je perds l’enthousiasme de mon métier. Merci.

    1. Bonjour Christelle,

      Merci pour ton partage qui reflète bien la réalité de nombreux psychologues. Je comprends à quel point entendre les traumas des autres peut épuiser et émousser l’enthousiasme pour ton métier.

      Ce que je propose dans Somaluna est une voie douce de travail sur les traumas. Nous n’abordons pas directement les sujets difficiles, et il n’est pas nécessaire de raconter son vécu. Nous nous focalisons sur la désomatisation de l’impact du trauma dans le corps sans devoir secouer le cocotier ou provoquer une catharsis.

      Les traumas arrivent souvent quand notre système est à bout et que nous n’avons pas les ressources pour réagir. Avec cette conscience, la voie de la douceur et de la compassion est la plus adéquate. Nous combinons cela avec des pratiques permettant de connecter au corps et aux différentes zones impactées, afin de rééquilibrer ces zones.

      Ainsi, nous retrouvons plus d’énergie, car l’énergie nécessaire pour lutter contre nous-mêmes est immense. Nous apprenons aussi à nous connaître sans l’impact de nos traumas. Les psychologues qui ont suivi ma formation ont senti une efficacité thérapeutique accrue et une renaissance de leur passion pour leur métier.

      Imagine pouvoir continuer à exercer avec une approche qui non seulement protège ton propre bien-être, mais te permet aussi de voir des transformations profondes chez tes patients sans t’épuiser. C’est ce que Somaluna offre : une méthode qui allie douceur, compassion et efficacité, permettant à chacun de retrouver équilibre et vitalité.

      Je serais ravie de t’accompagner sur cette voie douce pour retrouver ton enthousiasme et ton énergie dans ta pratique.

      Au plaisir,
      Jessica

  20. Bonjour Jessica, merci pour ta vidéo qui est inspirante. Je me suis beaucoup reconnue dans ta description personnelle. Comme toute personne, j’ai mes traumas accumulés depuis ma naissance, j’ai suivi beaucoup de formations depuis ces 15 dernières années. Aujourd’hui, ma plus grande recherche est de trouver les outils pour aider les personnes qui me consultent et dont les traumas qui se libèrent sont vraiment douloureux pour eux.

    1. Bonjour Nadine, merci pour ton message.
      J’apprécie que tu sois en recherche d’aider les personnes qui te consultent.
      Cela est un signe de vouloir leur offrir le meilleur.
      Ce que je propose dans Somaluna est une voie douce de travail sur les traumas.
      Nous n’abordons pas directement les sujets difficiles, il n’est ni nécessaire de raconter son vécu.
      Nous nous focalisons sur l’aspect de la désomatisation de l’impact du trauma dans le corps sans devoir secouer le cocotier ou provoquer une catharsis.
      Les traumas arrivent dans des circonstances où notre système est mis à bout et nous n’avons pas de ressources pour réagir.
      Avec cette conscience, la voie de la douceur et de la compassion est la plus adéquate en combinaison avec des pratiques qui permettent de connecter au corps, aux différents endroits qui ont été impactés afin de pouvoir rééquilibrer ces zones. Ainsi, nous retrouvons plus d’énergie (car l’énergie nécessaire pour lutter contre nous-même est immense) et nous apprenons à nous connaître sans l’impact de nos traumas.

  21. Bonjour Jessica, merci pour ta vidéo qui est inspirante. Je me suis beaucoup reconnue dans ta description personnelle. Comme toute personne, j’ai mes traumas accumulés depuis ma naissance, j’ai suivi beaucoup de formations depuis ces 15 dernières années. Aujourd’hui, ma plus grande recherche est de trouver les outils pour aider les personnes qui me consultent et dont les traumas qui se libèrent sont vraiment douloureux pour eux.

    1. Bonjour Nadine, merci pour ton message.
      J’apprécie que tu sois en recherche d’aider les personnes qui te consultent.
      Cela est un signe de vouloir leur offrir le meilleur.
      Ce que je propose dans Somaluna est une voie douce de travail sur les traumas.
      Nous n’abordons pas directement les sujets difficiles, il n’est ni nécessaire de raconter son vécu.
      Nous nous focalisons sur l’aspect de la désomatisation de l’impact du trauma dans le corps sans devoir secouer le cocotier ou provoquer une catharsis.
      Les traumas arrivent dans des circonstances où notre système est mis à bout et nous n’avons pas de ressources pour réagir.
      Avec cette conscience, la voie de la douceur et de la compassion est la plus adéquate en combinaison avec des pratiques qui permettent de connecter au corps, aux différents endroits qui ont été impactés afin de pouvoir rééquilibrer ces zones. Ainsi, nous retrouvons plus d’énergie (car l’énergie nécessaire pour lutter contre nous-même est immense) et nous apprenons à nous connaître sans l’impact de nos traumas.

  22. Bonjour Jessica !
    Je sais que le hasard fait bien les choses, j’aspire à devenir accompagnant, je pense avoir beaucoup de blocage qui m’empêche d’être celle que je veux être.
    Mon plus gros blocage la peur

  23. La peur d’être réellement moi. Peur de.me connecté totalement à ma lumière et ressentir toute ma puissance intérieure. Pour de me et de faire confiance.

  24. Bonjour, je suis accompagnante depuis plus de 5 ans. J’ai vu pratique évoluer, la confiance se développer, la conscience de la qualité de mon travail également mais il reste un blocage, la peur d’être trop visible, d’être dans la lumière et du coup d’être attaquée. Le fait ‘exercer une profession non réglementée et qui est considérée comme du charlatanisme maintient la peur chez moi et pourtant je ne peux pas changer de travail, je sais que ma place est là.
    Sans cette peur je crois que je serais puissante !

    1. Bonjour, je te remercie pour ton partage sincère. Cette peur d’être trop visible, d’être dans la lumière, est un sentiment compréhensible, surtout dans une profession non réglementée. Le risque de se sentir jugée ou attaquée peut freiner ton élan, même si au fond, tu sais que c’est ta voie.

      Ta conscience de la qualité de ton travail montre que tu es déjà sur le bon chemin, mais cette peur reste un obstacle à ton plein potentiel. Dans ma formation, nous abordons justement ces peurs liées à la visibilité et au jugement. L’objectif est de t’aider à te sentir en sécurité et alignée, même sous les projecteurs.

      Il ne s’agit pas de nier la peur, mais de la comprendre et de la transformer pour qu’elle ne t’empêche plus d’avancer. Je suis convaincue que sans cette peur, ta puissance serait encore plus grande, et je suis là pour t’accompagner vers cette pleine expression de toi-même.

  25. Bonjour merci pour ce riche échange
    Je me forme cependant je n’arrive pas à mettre le pas en avant
    Je me dis que ce que je fais n’est pas grand chose je me sens toujours en errance dans ma vie
    Presk léthargique sans élan sans volonté

    1. Bonjour Veronik,

      Je te remercie pour ce riche échange et pour ta sincérité. Je ressens la frustration que tu vis, cette sensation d’être en errance, presque léthargique, comme si quelque chose te retenait en arrière, t’empêchant de mettre ce premier pas en avant. C’est un sentiment lourd, et je veux te dire que tu n’es pas seule à le ressentir.

      Dans ma formation, l’objectif n’est pas seulement de te former techniquement, mais de te permettre de te reconnecter à ton élan vital, à cette force intérieure qui est parfois mise en veille par des peurs, des croyances limitantes ou un manque de confiance en soi. Tu apprendras à transformer ces états d’errance en des moments de clarté et de décision.

      Je comprends que faire ce premier pas puisse sembler difficile, mais sache que c’est souvent le plus libérateur. J’ai accompagné des personnes qui, comme toi, se sentaient perdues, sans élan, et qui, au fil du temps, ont retrouvé cette flamme intérieure, cette volonté d’agir, d’avancer. Tu as déjà en toi tout ce qu’il faut pour sortir de cette errance et retrouver ton chemin.

      Je crois en toi et en ta capacité à retrouver ton élan. Ensemble, nous pourrons travailler à faire de ces moments d’incertitude des étapes vers une vie plus alignée avec qui tu es vraiment. Tu n’as pas à tout faire seul, et chaque petit pas compte dans cette transformation.

  26. Bonjour Jessica,

    Pour ma part, j’accompagne des clients en tant que travailleuse sociale. Avec eux, je décèle ce qui les bloque, leurs fonctionnements mais j’ai peu d’outils pour les accompagner au-delà. J’aimerai du coup devenir thérapeute.

    Mon plus gros blocage est la procrastination. C’est comme si je m’empêche de devenir celle que je veux par peur, peur de ne pas être à ma place et par manque de confiance en moi. Du coup, c’est un cercle vicieux. Je fais beaucoup de recherches sur des méthodes mais me lance rarement dans l’apprentissage de l’une d’elles.

    1. Bonjour Tania,

      Je te remercie pour ton partage, et je comprends totalement ce que tu traverses. La transition entre ton rôle actuel et celui de thérapeute peut sembler immense, surtout quand la procrastination s’installe. Ce cercle vicieux que tu décris, où la peur de ne pas être à ta place et le manque de confiance te retiennent, est malheureusement très commun. Mais je veux te dire ceci : ce que tu ressens n’est pas un signe que tu es sur la mauvaise voie, mais plutôt une invitation à te découvrir plus profondément.

      La procrastination est souvent la manifestation de nos peurs les plus profondes. C’est comme une manière de se protéger de ce que l’on perçoit comme des risques, même si, au fond, on sait que c’est notre chemin. Le fait que tu fasses autant de recherches montre déjà ton désir de changer et de grandir. Tu as déjà en toi la curiosité, l’envie, la flamme. Ce qu’il te manque, ce ne sont pas des capacités ou des compétences, mais peut-être une approche qui t’aide à te libérer de ces freins intérieurs.

      Dans ma formation, nous ne nous contentons pas de te donner des outils thérapeutiques. Nous travaillons aussi sur ces mécanismes profonds, comme la procrastination et le manque de confiance, qui peuvent te retenir. C’est un processus d’accompagnement qui te permet non seulement d’acquérir des compétences, mais aussi de te transformer, de dépasser tes peurs et de te sentir pleinement à ta place.

      Je te dis ça avec une certaine expérience, car j’ai eu plusieurs assistantes sociales dans ma formation qui, comme toi, sentaient qu’elles étaient limitées dans leur capacité à servir pleinement leurs clients. Elles avaient cette frustration de voir ce qui bloque leurs clients sans pouvoir les accompagner au-delà. En devenant thérapeutes, elles ont pu élargir leur champ d’action et offrir un soutien beaucoup plus complet et profond.

      En te formant, tu pourras enfin lever ces limitations et servir avec tout ton potentiel. Chaque petite étape que tu franchiras te rapprochera de la thérapeute que tu veux devenir, en harmonie avec toi-même.

      Je crois en toi, Tania. Les premiers pas sont souvent les plus difficiles, mais ils sont aussi les plus libérateurs. Tu as déjà en toi tout ce qu’il faut pour faire la différence, non seulement dans ta vie, mais aussi dans celle des autres.

    1. Je comprends profondément cette peur, c’est un sentiment qui touche au cœur des racines familiales et à la loyauté envers celles qui t’ont précédée. Il est normal de ressentir ce tiraillement entre l’envie d’avancer vers ton propre chemin et la crainte de trahir ces femmes qui t’ont tant apporté. Mais laisse-moi te dire ceci : honorer ta lignée ne signifie pas t’enchaîner à leurs choix. Au contraire, en embrassant ton indépendance et en osant être pleinement toi-même, tu ouvres la voie pour celles qui viendront après toi, et tu rends hommage à celles qui t’ont précédée en montrant qu’il est possible de transformer leur héritage en quelque chose de nouveau, qui te ressemble.

      Dans ma formation, nous abordons justement ces questions avec beaucoup de douceur et de profondeur. On travaille sur ces loyautés invisibles, ces liens qui peuvent sembler si forts qu’ils te retiennent. Tu apprendras à les honorer tout en les réinventant, pour te permettre de t’épanouir sans culpabilité, en pleine conscience de qui tu es et d’où tu viens. Le chemin vers l’indépendance n’est pas une rupture, mais une évolution – une transformation que tu portes déjà en toi.

      Tu n’es pas seule dans cette démarche. Ensemble, on explore, on dénoue, on avance, tout en respectant ces parts de toi qui te semblent parfois contradictoires. Si tu choisis de te lancer, sache que tu seras soutenue et guidée pour faire de cette étape un hommage à ta lignée, et non une trahison.

  27. Bonjour Jessica,
    Pour ma part, j’accumule les formations et malgré ça je ne ne sens jamais prête à passer à l’action. Je suis toujours prête à tout abandonner puis je réalise au plus profond de moi que c’est ça que je dois faire. Depuis toujours, je suis à l’écoute des autres et dans l’aide mais plus je me forme moins j’ai confiance en moi

    1. Bonjour Isabelle,

      Merci pour ton message ! Il est courant de ressentir ce manque de confiance malgré une accumulation de formations. Je l’ai aussi ressenti.

      C’est pour cela que j’ai structurée ma formation pour travailler précisément sur le développement de la confiance en soi et la capacité à passer à l’action. Nous te fournirons des outils pour renforcer ta confiance et te sentir prête à mettre en œuvre tes compétences. Si tu souhaites en discuter davantage, je serais ravie d’échanger avec toi en privé.

      À bientôt !

  28. Ma plus grande difficulté est de communiquer clairement sur mes pratiques thérapeutiques afin de créer du lien avec les personnes que je suis en capacité d’accompagner. J’y travaille mais je me disperse parfois en voyant toutes les possibilités que l’on peut explorer….

    1. Bonjour Aleyrangues,

      Merci pour ton message ! La clarté dans la communication est essentielle pour créer des liens efficaces avec ceux que tu accompagnes.

      Dans ma formation, il y a un module pour t’aider sur la manière de structurer et de clarifier ton message afin que tu puisses exprimer clairement la valeur de tes pratiques et attirer les personnes qui ont besoin de ton aide. Si tu souhaites en discuter davantage, je suis à ta disposition en privé.

      À bientôt !

  29. Bonjour j’aime beaucoup idée les autres et je suis à la recherche d’une formation qui me permettrait de me lancer en tant que thérapeute et comme vous le soulignez me guérir moi dans un premier pour pouvoir aider les autres par la suite.
    Merci pour cet échange.
    Carole

    1. Bonjour Carole,

      Merci pour ton message ! C’est formidable que tu souhaites te lancer dans le domaine de la thérapie et que tu te concentres d’abord sur ton propre cheminement. Se guérir soi-même est effectivement une étape essentielle pour pouvoir accompagner les autres de manière authentique et efficace. Car ce que nous appelons de guérison est la capacité à construire notre régulation nerveuse et émotionnelle.

      Ma formation en intégration somatique est conçue pour offrir des outils puissants non seulement pour ta propre transformation personnelle, mais aussi pour développer des compétences concrètes dans l’accompagnement des autres. Nous intégrons diverses techniques psychocorporelles et somatothérapeutiques qui permettent à la fois de travailler sur soi et d’apprendre à guider les autres avec profondeur et compétence.

      Si tu souhaites en savoir plus sur la manière dont cette formation pourrait t’aider à te lancer en tant que thérapeute tout en poursuivant ton propre développement, sois libre de me contacter en privé pour discuter plus en détail et continue de suivre les vidéos de cette série.

      À bientôt !

    1. Bonjour Rose-May,

      Merci pour ton message ! Ressentir des blocages peut être difficile à gérer.

      Dans ma formation, nous abordons ces blocages de manière directe et indirecte. Nous utilisons des outils pour identifier et traiter les obstacles de façon ciblée afin de t’aider à avancer sereinement. Si tu souhaites en discuter plus en détail, je serais ravie d’en parler avec toi en privé.

      À bientôt !

        1. Je comprends parfaitement ce que tu ressens. L’idée de « sortir de sa zone de confort » peut parfois être mal interprétée et nous amener à nous mettre dans des situations où l’on se sent en insécurité, ce qui peut créer un stress non nécessaire.

          Plutôt que de forcer un changement radical qui peut être éprouvant, je recommande l’approche d’augmenter progressivement sa fenêtre de tolérance. Cela signifie renforcer ta sécurité intérieure, petit à petit, pour que tu puisses aborder de nouvelles expériences sans te sentir déstabilisée ou en danger. Cette méthode te permet de rester en lien avec toi-même tout en explorant de nouvelles possibilités de manière sécurisante et respectueuse de ton rythme.

          Ma formation est conçue dans cet esprit : t’accompagner à renforcer ta sécurité intérieure, à bâtir une confiance en toi solide, et à élargir progressivement ta capacité à accueillir le nouveau sans te sentir submergée. Si tu souhaites en discuter plus en détail ou voir comment cela peut s’appliquer à ton parcours, je suis là pour t’accompagner.

          Merci encore pour ta confiance, et n’hésite pas à me contacter quand tu le souhaites. À bientôt, j’espère !

  30. Bonjour Jessica,
    Beaucoup de formation à mon actif, l’envie de bien faire et d’être dans la justesse et de trouver ma voie aussi et comment servir au lieu. Je pense que passer par le corps est essentiel mais je n’ai pas encore beaucoup d’outil de ce côté là, c’est pourquoi cette formation suiscite de l’intérêt chez moi..

    1. Bonjour Vivi,

      Merci pour ton message ! C’est admirable que tu cherches à enrichir ta pratique avec des outils psychocorporels.

      Je suis moi-même très axée sur le travail par le corps, ayant traversé des épreuves personnelles où le corps a été ma seule voie d’expression, étant donné la difficulté de parler dû au trauma. Ma formation propose des outils psychocorporels approfondis pour intégrer cette approche dans ton travail. Il est clair que tu vas recevoir une centaine de pratiques corporelles, comme je dis en rigolant à mes élèves : tu vas en avoir pour ton corps 🙂 Si tu souhaites discuter plus en détail de la manière dont cette formation pourrait enrichir ta pratique, je serais ravie d’en parler avec toi en privé.

      À bientôt !

  31. Bonjour , Je souhaite devenir coach en développement personnel et cette approche m’intéresse beaucoup.
    J’ai déjà effectué des exercices et c’est vrai que c’est une autre approche très intéressante.
    Je suis bloqué pour le moment car à par ma fille , personne ne me sourient et c’est donc très difficile pour moi de me lancer dans cette aventure.

    1. Bonjour Emilie, merci pour ton partage.
      Sache qu’en rejoignant ma formation, tu rejoins aussi un groupe de femmes like minded.
      Il y a des cercles de paroles afin que tu puisses venir déposer ce qui te tracasse et ce dont tu es fière.
      Petit à petit, grâce à cette communauté et au travail que tu vas faire, il sera plus facile pour toi de créer un environnement plus soutenant.
      Parce que quand on goûte à une telle qualité dans nos échanges, on ne veut plus troquer notre amour pour des miettes.

  32. Bonjour, pour ma part également des blocages qui m empêche de faire pleinement ce que je souhaite réaliser au quotidien…ceci m amène toujours à repousser les choses.
    Après je ne sais pas à quel trauma cela est lié et je souhaite m en defaire.

    1. Bonjour Laetitia, merci pour ton message.
      La bonne nouvelle avec le travail somatique que je propose est qu’il n’est ni nécessaire de connaître le trauma et encore moins de le revisiter pour t’aider à te libérer des blocages que celui-ci a créé dans ton quotidien.

    1. Bonjour Soso,
      Merci de partager ce que tu ressens. Le manque de confiance, la peur de se tromper, et le syndrome de l’imposteur sont des sentiments bien plus courants qu’on ne le pense, et je comprends tout à fait ce que tu traverses.

      Ces sensations peuvent être vraiment paralysantes, mais elles ne définissent pas ta valeur ni tes compétences. Ma formation est justement conçue pour t’aider à surmonter ces blocages. Elle te donnera des outils concrets pour renforcer ta confiance en toi et apaiser ce sentiment de ne pas être à la hauteur.

      Si tu veux en discuter davantage ou explorer comment on peut travailler ensemble pour dépasser ces obstacles, je suis là pour t’écouter. Tu n’es pas seule dans ce cheminement.

  33. Bonjour ! Merci pour cette vidéo. Je suis somatothérapeute, installée dans une activité qui fonctionne plutôt bien. J’ai un vif intérêt pour la psychothérapie sensorimotrice et la théorie polyvagale, les traumas… J’ai été très touchée par ton cheminement et les différents outils que tu proposes. Ma place de femme et mes blessures d’abus me mettent parfois en difficulté dans certaines séances d’accompagnement et dans ma vie intime. Ta formation m’intéresse fortement.

    1. Bonjour Delphine,

      Merci beaucoup pour ton message et pour avoir pris le temps de partager ton expérience avec moi. Je suis touchée par ton parcours et ton intérêt pour la psychothérapie sensorimotrice, la théorie polyvagale, et le travail sur les traumas.

      Je comprends à quel point les blessures profondes, notamment liées aux abus, peuvent parfois ressurgir dans le cadre de l’accompagnement et même dans la sphère intime. C’est une réalité délicate et complexe à naviguer, surtout lorsque l’on est soi-même accompagnante.

      Ma formation a été conçue pour offrir un espace sécurisant et bienveillant où tu pourras explorer ces dynamiques à travers des outils variés, adaptés à ton cheminement personnel et professionnel. Elle te permettra non seulement d’approfondir tes compétences, mais aussi de trouver un équilibre entre ta pratique professionnelle et ton propre épanouissement en tant que femme.

      Je serais ravie d’échanger davantage avec toi pour voir comment cette formation pourrait t’accompagner dans ton parcours et t’aider à surmonter ces défis. N’hésite pas à me contacter pour en discuter plus en détail.

      À très bientôt, j’espère !

  34. Bonjour
    Je progresse dans mes formations et mon cheminement personnel de libération des traumas pourtant je sens des peurs encore ancrées.
    Ne pas rajouter du trauma aux traumas est mon leitmotiv. Une véritable obsession.
    Avant d’accompagner, je ressens le besoin d’aller au bout de ma propre guérison. Merci pour votre proposition.

    1. Bonjour Nathalie,

      Merci pour ton message et pour ta transparence. Il est tout à fait naturel, et même sage, de vouloir s’assurer que tu as atteint un certain niveau de guérison avant d’accompagner les autres, surtout quand il s’agit de travailler avec des traumas. Le fait que tu sois aussi consciente de l’importance de ne pas rajouter de trauma aux traumas montre déjà ta grande sensibilité et ton engagement envers un accompagnement éthique et bienveillant.

      Les peurs qui restent ancrées, même après un travail profond sur soi, sont une réalité pour beaucoup de personnes dans ce cheminement. Elles peuvent être des signaux de parties de toi qui ont encore besoin d’attention, de douceur, et de temps pour se sentir en sécurité. Aller au bout de ta propre guérison est un processus qui demande du temps, et c’est très bien de respecter ce rythme.

      Ma formation pourrait te soutenir dans cette démarche, en te permettant de continuer ton cheminement personnel tout en explorant des outils et des techniques qui t’aideront à renforcer cette sécurité intérieure. Cela te permettra d’avancer avec plus de confiance, tant pour toi que pour les personnes que tu accompagneras à l’avenir.

      Si tu souhaites discuter de ce que cette formation pourrait t’apporter ou de la manière dont elle peut s’intégrer dans ton parcours actuel, je serais ravie d’échanger avec toi.

      Merci encore pour ta confiance, et à bientôt, je l’espère !

    1. Bonjour Marie-Sophie,

      Merci pour ton message. Je te comprends tellement : le syndrome de l’imposteur peut vraiment être lourd à porter, surtout quand on a le cœur rempli de passion et d’envie de bien faire. Ce que tu ressens est tout à fait normal, et le simple fait que tout ce que je partage résonne avec toi montre déjà que tu es sur le bon chemin.

      Ton cœur sait déjà où il veut aller, et c’est ça qui compte. Le reste se construit pas à pas, sans pression. Si tu as besoin de soutien pour traverser ce syndrome de l’imposteur et renforcer ta confiance, je suis là pour t’accompagner.

      Merci encore pour ton partage, et n’hésite pas si tu veux en discuter davantage !

  35. Merci pour cette vidéo emplie de tes partagées, expériences et conseils.
    J’ai aussi suivi beaucoup de formation et je souhaite maintenant accompagner par le biais de la thérapie psychocorporelle en passant par le mouvement et des pratiques holistiques
    Cependant je me sens perdue dans toutes mes formations et j’ai du mal à créer à faire le.tri et à proposer quelque chose qui vient de moi. J’espère vraiment pouvoir y arriver.

    1. Bonjour Maritxu,

      Merci beaucoup pour ton message et pour avoir pris le temps de regarder la vidéo. Je te comprends totalement : après avoir suivi tant de formations, il peut être difficile de faire le tri et de trouver comment rassembler tout ce savoir pour proposer quelque chose qui te ressemble vraiment.

      Ta volonté d’accompagner par le biais de la thérapie psychocorporelle, en passant par le mouvement et des pratiques holistiques, est magnifique. C’est un bel espace de transformation pour toi et pour ceux que tu vas accompagner. Ce sentiment de te perdre dans tout ce que tu as appris est normal, surtout quand on veut intégrer toutes ces richesses et en faire quelque chose de personnel.

      L’important est de reconnecter avec ce qui résonne le plus profondément en toi, ce qui te passionne et ce qui te fait vibrer. Prends le temps de te poser avec tout ce que tu as appris et laisse émerger ce qui te semble le plus aligné avec qui tu es. C’est en laissant venir ce qui est vraiment toi que tu pourras proposer quelque chose d’unique et authentique.

      Si tu as besoin de soutien pour clarifier tes idées et structurer ton approche, je suis là pour t’accompagner dans ce processus. Tu as déjà tout en toi pour y arriver, et je suis certaine que tu trouveras ta voie.

      Merci encore pour ton partage, et je suis à ta disposition si tu souhaites en discuter davantage !

  36. Bonjour Jessica! J’ai beaucoup aimé ta première vidéo. Elle a confirmé ce que je ressens depuis longtemps en lien avec mes traumas ; que mon corps les a absorbés. J’aimerais beaucoup connaître ta méthode pour d’abord me donner des outils de guérison. Merci 🙏

    1. Bonjour Isabelle,
      Merci pour ton message. Je suis ravie que tu aies aimé la première vidéo.
      Nos ressentis sont des enseignants et je suis ravie que tu aies connecté à cela.
      Les prochaines vidéos t’expliquent plus en détails ma méthode.
      Au plaisir,
      Jessica

  37. Beaucoup de formations, beaucoup de connaissances, je suis kiné, je fais du yoga, des. Massages chinois, de la gym des fascia, je. Soigne les douleurs du périnée et du corps et donc pas facile de définir ce que je veux proposer en soins hc… même si j’accompagne déjà beaucoup mes patients en kiné

    1. Bonjour Emmanuelle,

      Je te remercie pour ton message et ton partage sincère. Avec toutes tes formations et compétences – kiné, yoga, massages chinois, gym des fascias, soins du périnée – tu as déjà un panel incroyable d’outils pour accompagner tes patients. Je comprends que cela puisse rendre difficile de définir ce que tu veux proposer en soins hors cadre conventionnel (HC).

      Ton parcours montre une vraie richesse dans ton approche, et c’est une force immense. Ce qui peut t’aider, c’est de trouver ce qui te passionne le plus dans tout ce que tu fais, ce qui te fait vibrer quand tu accompagnes tes patients, et de construire autour de cela. Il ne s’agit pas de tout faire entrer dans une seule case, mais de créer une proposition de soins qui reflète vraiment qui tu es et ce que tu souhaites apporter.

      Prends le temps de te reconnecter à ce qui te fait le plus sens, et laisse cette intuition guider la définition de tes soins. Si tu as besoin d’aide pour clarifier tout ça ou structurer ton offre, je suis là pour en discuter avec toi et t’accompagner dans cette réflexion.

      Merci encore pour ton partage, et n’hésite pas à me contacter si tu as envie d’échanger plus en détail !

  38. Bonjour, je suis Éducatrice spécialisée depuis de nombreuses années, accompagner des personnes avec des difficultés sociales, des traumatismes, des handicaps fait partie de mon quotidien…
    Ma vie personnelle n’a pas été sans période chaotique…
    En parallèle, je pratique la médiation pleine conscience, du reiki, de la sophrologie… me suis formée à la naturopathie… beaucoup de lecture sur la somatopathie (une somato ma beaucoup aidé pour avancer personnellement de mes propres traumas)…
    Aujourd’hui, physiquement mon travail en protection de l’enfance m’a bien abîmé… j’aime accompagné des personnes mais je voudrais le faire autrement, sans être sur le front…confronté aux violences, colères.
    Je me question sur les possibilités de travailler différemment, dans un environnement qui me permettrait de ne plus donner physiquement.
    Merci pour le temps de lecture que vous allez m’accorder.
    Katia

    1. Bonjour Katia,

      Merci pour ton partage sincère. Ton parcours est impressionnant, et je comprends ce besoin de changer d’approche pour continuer à accompagner sans être constamment exposée aux violences et à l’intensité émotionnelle.

      Ta riche expérience, combinée à ton intérêt pour des pratiques plus douces comme la méditation, le reiki, la sophrologie et la naturopathie, montre déjà que tu es prête pour une autre manière d’accompagner, plus respectueuse de tes propres limites et de ton bien-être.

      Ma formation pourrait tout à fait répondre à ce que tu recherches. Elle est conçue pour permettre d’accompagner des personnes dans la libération de leurs traumas, sans avoir à reparler explicitement du vécu traumatique, ce qui réduit les risques de retraumatiser tes clients, et de te mettre toi-même en difficulté émotionnelle. C’est une approche qui respecte les rythmes de chacun, tout en offrant des outils puissants pour la transformation personnelle.

      Tu pourrais ainsi continuer à aider, mais d’une manière plus douce, qui te permettrait de rester alignée avec tes valeurs et ton bien-être. Si cela résonne pour toi, je serais ravie d’en discuter davantage et de t’expliquer comment cette formation pourrait être une belle opportunité pour toi.

      N’hésite pas à me contacter, Katia, et merci encore pour ta confiance. À bientôt, je l’espère !

    1. Bonjour Séverine,

      Merci beaucoup pour ton retour. Je suis vraiment contente que tu te sois retrouvée dans la vidéo, même un peu. C’est toujours précieux de savoir que mes partages peuvent résonner et apporter quelque chose.

      Si tu as envie d’échanger davantage ou de partager ce qui t’a touchée, je suis là et à ton écoute.

      Merci encore, et à bientôt j’espère !

  39. Bonjour Jessica,
    Je suis totalement perdue. Je suis puéricultrice de formation. Je ne me sens plus en connections avec mon métier. J’ai toujours été et le suis toujours d’ailleurs à l’écoute des autres. J’aime écouter, parler, aider mon prochain avec des mots qui peuvent résonner en eux. J’aime ce monde . Ta première video confirme totalement mes envies, mes désirs mais je n’ose pas par peur de ne pas y arriver. Puis je n’ai aucune formation de coach et autres pour pouvoir suivre cette voie. Par manque de confiance en moi , par la peur de l’inconnu, par la peur de ne pas savoir comment mettre tout en pratique pour en faire mon futur metier. Je suis en pleins questionnement sur ma vie. Envie de me réorienter professionnellement parlant. Pas de soutient dans mes envies, pas d’ecoute, je me sent seule . Des traumas en veux tu en voilà depuis mon enfance d’où le manque de confiance en moi. Vais je pouvoir aspirer à une vie meilleure qui me ressemble et que je rêve tant…la est toute la question ❓️

    1. Bonjour Aurore,

      Merci pour ton partage sincère. Je comprends parfaitement à quel point tu peux te sentir perdue en ce moment. Quand on ressent ce décalage avec son métier, ce besoin de réorientation vers quelque chose de plus aligné avec soi-même, c’est normal de se sentir un peu seule et en manque de soutien.

      Même si tu n’as pas encore de formation spécifique en coaching ou en accompagnement, sache que ta capacité à écouter, à parler et à aider les autres est déjà un immense atout. C’est une base solide, et le reste peut s’apprendre. Dans ma formation, tu seras accompagnée de A à Z, même si tu pars de zéro. Tu y trouveras tout ce qu’il te faut pour te former, te structurer, et te lancer en toute confiance dans ce nouveau chemin.

      En plus de l’aspect pédagogique, tu seras entourée de femmes qui, comme toi, sont en plein questionnement et désireuses de se réorienter. Cette communauté est là pour te soutenir, t’encourager et te rappeler que tu n’es pas seule. Ensemble, vous allez créer un environnement soutenant qui pourra aussi s’étendre à ton quotidien. Cela peut faire toute la différence pour oser faire ce premier pas vers la vie que tu rêves d’avoir.

      Si tu ressens que cette formation pourrait t’aider à avancer, je serais ravie d’en discuter plus en détail avec toi. Tu as déjà en toi tout ce qu’il faut pour y arriver, et avec le soutien adéquat, je suis certaine que tu peux aspirer à cette vie meilleure qui te ressemble.

      Merci encore pour ta confiance, et sache que je suis là si tu veux échanger davantage. À très bientôt, j’espère !

  40. Bonjour, je vous remercie pour votre message partagé dans votre vidéo. Ce message est très inspirant et motivant.

    Je suis, depuis plusieurs années en quête de sens dans ma vie, ayant eu un parcours parfois compliqué sur des aspects de santé, psychologiques, émotionnels, j’ai voulu me diriger dans les soins énergétiques (j’ai suivi une formation d’un an et lis beaucoup sur le sujet). Durant mon parcours, j’ai eu la chance de retrouver la santé grâce à l’accompagnement d’une thérapeute et souhaiterais, moi aussi, aider les gens, les libérer, les élever, les soulager,…
    Mais voilà que je n’avance pas. La volonté est là, mais je n’y arrive pas. Je crois me retrouver bloquée, car sûrement que je dois régler des choses en moi avant d’aider les autres. Je pense m’être créé une bulle de protection suite aux nombreuses difficultés rencontrées, m’empêchant de souffrir, certes, mais aussi de ressentir la joie. Peut-être même que certains blocages remontent à mon enfance, mais dont je n’ai pas conscience et c’est là que j’aimerais travailler, pour les régler et avancer libérée. Alors peut-être qu’avec votre méthode j’y parviendrai.
    Merci si vous pouvez m’aider.

    1. Bonjour Florence,

      Merci pour ton message et pour avoir partagé ton parcours avec autant de sincérité. Je ressens vraiment ta volonté profonde de trouver du sens dans ta vie et d’aider les autres, surtout après tout ce que tu as traversé sur les plans de la santé, psychologique et émotionnel.

      Ce que tu décris — cette sensation de blocage malgré toute ta volonté d’avancer — est quelque chose de très commun, surtout lorsqu’on a vécu des difficultés et qu’on a, comme tu le dis, créé une sorte de bulle de protection. Cette bulle a certainement été nécessaire à un moment donné pour te protéger, mais il est tout à fait naturel de sentir que, maintenant, elle t’empêche de ressentir pleinement la joie et d’avancer vers ton objectif d’aider les autres.

      Ta réflexion sur le fait de devoir travailler sur certaines choses en toi avant d’accompagner est très sage. Parfois, nos blocages les plus profonds peuvent être liés à des expériences passées, y compris celles de l’enfance dont on n’a pas forcément conscience. Mon approche, justement, permet de travailler sur ces blocages sans avoir besoin de replonger dans le vécu traumatique. Cela te permettrait de te libérer progressivement de ces barrières intérieures tout en respectant ton propre rythme.

      Ma formation est conçue pour t’aider à te reconnecter à tes émotions, à élargir ta fenêtre de tolérance et à retrouver cette capacité à ressentir pleinement la joie, tout en te préparant à accompagner les autres de manière sécurisante et sans te mettre en danger. En rejoignant cette formation, tu seras entourée d’autres femmes qui vivent des cheminements similaires, et qui te soutiendront tout au long de ce processus. Cela t’aidera à créer un environnement positif et nourrissant autour de toi, même dans ton quotidien.

      Si tu ressens que cette approche peut t’aider à avancer et à te libérer de ces blocages, je serais ravie d’en discuter davantage avec toi et de t’accompagner sur ce chemin.

      Merci encore pour ta confiance, et n’hésite pas à me contacter si tu souhaites échanger plus en détail. À bientôt, je l’espère !

  41. Bonjour et merci pour ton partage
    Le principal blocage est mon syndrome de l’imposteur donc.sensation d’être illégitime ou je souhaite vraiment et j’aime aider accompagnée les gens ce confie facilement à moi et apperement je leur fais du bien et chaque fois que je ressens des choses et leur dit c’est Banko, malgré des Ateliers, formation je reste cette femme qui doute de ces capacités

    1. Bonjour Noé,

      Merci pour ton message et pour ta sincérité. Je comprends bien ton ressenti face au syndrome de l’imposteur. Ce sentiment d’illégitimité est quelque chose que beaucoup de personnes traversent, surtout quand elles ont une vraie envie d’aider et d’accompagner les autres.

      Le fait que les gens se confient facilement à toi et que tu arrives à les toucher au bon endroit montre déjà que tu as un vrai don pour l’accompagnement. Tu fais du bien autour de toi, et c’est une qualité précieuse qui ne peut pas s’apprendre dans un livre ou une formation. C’est déjà en toi.

      Malgré tout, je sais à quel point il peut être difficile de faire taire cette petite voix qui doute de tes capacités, même après avoir suivi des ateliers et des formations. Ce syndrome de l’imposteur a souvent des racines profondes, liées à la façon dont on se perçoit soi-même.

      Ma formation pourrait justement t’aider à travailler sur ces blocages internes et à renforcer ta confiance en toi, pour que tu puisses pleinement incarner ce rôle d’accompagnante que tu as déjà en toi. Tu apprendras à valoriser ce que tu sais déjà, à reconnaître tes propres talents et à te sentir légitime dans cette voie que tu aimes tant.

      Et tu ne seras pas seule dans ce parcours : tu seras entourée de femmes qui traversent des cheminements similaires, prêtes à te soutenir et à t’encourager. Ensemble, vous pourrez construire un environnement de confiance et d’entraide.

      Si tu sens que cette approche pourrait te correspondre, je serais ravie d’en discuter davantage avec toi. Merci encore pour ta confiance, et n’hésite pas à me contacter si tu souhaites en parler plus en détail.

      À bientôt, je l’espère !

  42. Bonsoir, mon blocage c’est que je ne me sens pas légitime pour accompagner. J’ai fait moult formations, je ne me sens pas assez experte pour pratiquer et accompagner. Je suis en cours de création d’entreprise.

    1. Bonjour Sabrina,

      Merci pour ton message et pour ton honnêteté. Je comprends tout à fait ton ressenti : malgré toutes les formations que tu as suivies, ce sentiment de ne pas te sentir « légitime » pour accompagner peut être un vrai frein, surtout quand on est en pleine création d’entreprise. C’est une réalité que beaucoup de personnes traversent lorsqu’elles se lancent dans un domaine où elles aspirent à aider les autres.

      Ce manque de confiance en soi, cette impression de ne jamais être « assez experte », est souvent le reflet des exigences élevées que l’on se fixe. Mais ce qui fait vraiment la différence dans l’accompagnement, ce n’est pas simplement le nombre de formations, c’est ta qualité de présence. Ta capacité à être pleinement là pour l’autre, à créer un espace de confiance et de sécurité, est une compétence précieuse que même les meilleures formations ne peuvent pas forcément enseigner.

      Ma formation pourrait t’aider à te sentir plus légitime, non pas en accumulant encore plus de connaissances, mais en te reconnectant à cette qualité de présence, à ta propre valeur, et en découvrant que tu as déjà en toi beaucoup plus que tu ne le penses. Elle t’apportera des outils pour renforcer ta confiance, clarifier ton approche, et te sentir pleinement prête à te lancer dans cette nouvelle aventure.

      Tu seras également entourée d’une communauté de femmes qui, comme toi, sont en chemin vers plus de confiance en elles. Ce soutien mutuel, basé sur le partage d’expériences et l’encouragement, peut être précieux pour te rassurer et avancer avec sérénité dans la création de ton entreprise.

      Si tu sens que cette approche pourrait t’aider à franchir ce cap, je serais ravie d’en discuter davantage avec toi. Merci encore pour ton partage, et n’hésite pas à me contacter si tu as envie d’en parler plus en détail.

      À bientôt, je l’espère !

  43. Bonjour Jessica,
    Je te remercie pour cette 1ère vidéo, qui me parle beaucoup. J’ai toujours voulu faire de l’accompagnement, mais je n’ai jamais su comment faire, c’est à dire quelle formation faire dans un premier temps. Puis me perfectionner notamment avec ta méthode trauma soma. C’est sûr que j’ai des traumas à régler dans ma vie afin d’être la femme épanouie que je souhaite être. Donc encore merci et si tu peux me guider sur le choix d’accompagnement que je pourrais faire pour débuter.
    Au plaisir de te lire et de suivre tes autres vidéos.
    Nadia

    1. Bonjour Nadia,

      Merci beaucoup pour ton message et ta confiance. Je suis ravie que cette première vidéo résonne autant avec toi. Le désir d’accompagner est un élan magnifique, et je comprends qu’il puisse parfois être difficile de savoir par où commencer, surtout avec cette envie de te perfectionner et de travailler sur tes propres traumas en même temps.

      Pour débuter, je te conseille de te concentrer sur une approche qui te permet de te reconnecter à toi-même et de travailler sur tes propres traumas tout en développant des compétences d’accompagnement. Ma méthode Trauma Soma pourrait être une belle option pour toi, car elle combine ces deux aspects : elle te permet de travailler sur tes propres blessures et de cheminer vers l’épanouissement, tout en apprenant des techniques d’accompagnement efficaces et respectueuses.

      Ma formation te guidera pas à pas, que tu sois débutante ou que tu aies déjà un peu d’expérience dans le domaine. Elle est conçue pour t’accompagner dans ton propre cheminement personnel tout en te formant aux outils nécessaires pour accompagner les autres sans risquer de les retraumatiser — ou de te traumatiser toi-même.

      Si tu es prête à faire ce premier pas, je serais ravie de t’accueillir dans la formation et de t’accompagner dans ce beau parcours. Tu y trouveras tout le soutien dont tu as besoin pour commencer, évoluer, et t’épanouir pleinement.

      Merci encore pour ta confiance, et je me réjouis de te lire à nouveau et de partager les prochaines vidéos avec toi !

      À très bientôt, Jessica !

  44. Bonjour,
    J’ai fait un tas de formations et je ne trouve pas une direction, je tourne en rond et je ne me sens pas légitime, je doute et j’ai encore beaucoup de peurs.

    1. Bonjour Karine,

      Je comprends tout à fait ce que tu ressens. Faire de nombreuses formations sans trouver une direction claire peut être vraiment frustrant, et c’est normal que cela alimente des doutes et des peurs. Tu as accumulé tellement de connaissances et d’outils, mais sans une vision claire de ce que tu veux en faire, il est facile de se sentir perdue et illégitime.

      Il est important de te rappeler que ce sentiment de tourner en rond ne signifie pas que tu es dans l’erreur ou que tu n’es pas à ta place. Parfois, c’est simplement une question de recentrer tes intentions et de trouver ce qui résonne vraiment en toi. Ce qui te bloque peut-être, c’est cette impression qu’il faut déjà tout savoir ou tout maîtriser pour se sentir légitime, alors qu’en réalité, ce qui compte, c’est ta qualité de présence et la manière dont tu te connectes aux autres.

      Ma formation pourrait t’aider à clarifier ta direction en te reconnectant à tes propres forces et à ce qui te fait vibrer, sans te laisser submerger par la peur ou le doute. Elle est conçue pour t’accompagner à définir ta signature personnelle, à construire sur la base de qui tu es vraiment, et à trouver une voie qui te ressemble, tout en développant ta confiance et en élargissant ta fenêtre de tolérance.

      Si tu sens que cela pourrait te soutenir dans ta démarche, je serais ravie d’en discuter davantage avec toi. Tu n’es pas seule dans ce cheminement, et parfois, un peu de soutien et de guidance peuvent faire toute la différence.

      Merci de partager ce que tu ressens, et n’hésite pas à me contacter si tu as envie d’en parler plus en détail.
      À bientôt, je l’espère !

  45. Bonjour Jessica,
    Je ressens le besoin de me reconvertir vers un métier d’accompagnement qui a du sens pour moi, de me sentir plus aligner également avec mes valeurs… ce qui pourrait me bloquer et me frustrer c’est ce manque de légitimité et cette peur de ne pas accompagner comme il se doit, de ne pas réussir et de ne pas me retrouver financièrement (j’exerce une fonction à responsabilité dans les RH). Ta 1ere vidéo était très parlante pour moi. Je me suis reconnue dans plusieurs situations. Merci pour ce partage.

    1. Bonjour Victoria,

      Merci beaucoup pour ton message et pour avoir partagé ce que tu ressens. Je comprends parfaitement ton envie de te reconvertir vers un métier d’accompagnement qui te ressemble davantage et qui soit aligné avec tes valeurs. C’est un besoin que beaucoup ressentent, surtout lorsque l’on aspire à plus de sens dans son travail quotidien.

      Le manque de légitimité et la peur de ne pas « bien » accompagner sont des blocages courants, mais ils ne doivent pas t’empêcher d’avancer. Ta volonté d’apporter du sens et ton désir d’accompagner les autres montrent déjà que tu as en toi l’essence même de ce que signifie être une bonne accompagnante. C’est ta qualité de présence, ton écoute, et ton authenticité qui feront la différence, bien plus que n’importe quel diplôme ou titre.

      Concernant tes craintes financières et le fait de ne pas réussir à t’y retrouver, sache qu’il est tout à fait possible de faire cette transition de manière progressive et réfléchie. Mon approche permet justement de développer ta confiance et tes compétences d’accompagnement à ton rythme, tout en continuant à exercer ton poste actuel. Cela te permettrait de tester et de consolider ton projet avant de faire le grand saut, en toute sécurité.

      Je suis ravie que ma première vidéo ait résonné avec toi et que tu te sois reconnue dans les situations que j’ai partagées. Ma formation est conçue pour te guider dans cette reconversion, te permettre de te sentir légitime et en confiance dans ce nouveau rôle, tout en te donnant des outils concrets pour construire une activité qui soit à la fois épanouissante et viable financièrement.

      Si tu as envie d’en discuter davantage et de voir comment je peux t’aider à franchir ce cap, je serais ravie d’échanger avec toi. Merci encore pour ta confiance, et je te souhaite plein de belles découvertes sur ce chemin !

      À très bientôt, j’espère !

  46. Bonjour Jessica,
    Merci pour la vidéo d’introduction et explicative 🙏
    Pour ma part, j’ai un gros blocage sur ma capacité à réussir (me lancer seule) avec syndrome de l’imposteur, de la looseuse. Donc je ne me lance pas et pourtant j’ai une forme de certitude que je peux apporter beaucoup aux autres tout en cherchant quoi et comment ⁉️🤔

    1. Bonjour Caroline,

      Merci beaucoup pour ton message et pour ta sincérité. Je comprends tellement ce que tu ressens, ce blocage autour de la capacité à réussir est quelque chose que beaucoup traversent, surtout avec ce syndrome de l’imposteur qui peut venir brouiller nos certitudes et nous faire douter de notre légitimité.

      Le fait que tu te sentes bloquée, avec cette impression d’être une « looseuse », est souvent le reflet d’exigences élevées que l’on se fixe envers soi-même. Mais cette petite voix qui te dit que tu peux apporter beaucoup aux autres est précieuse, et c’est là-dessus que tu peux t’appuyer. Ton intuition te montre déjà que tu es capable, même si le doute persiste.

      Le chemin vers l’accompagnement est un processus qui demande du temps et de la confiance en soi, mais tu n’as pas besoin de tout savoir ou de tout avoir maîtrisé avant de te lancer. Parfois, il suffit simplement de faire le premier pas, même sans avoir toutes les réponses sur le « quoi » et le « comment ». C’est en avançant que ces éléments se clarifient.

      Ma formation pourrait vraiment t’aider à surmonter ce syndrome de l’imposteur et à te reconnecter à ta propre légitimité. Elle te guidera pour trouver ce qui te parle le plus et comment structurer une offre qui te ressemble. Et surtout, tu ne seras pas seule dans ce processus. Tu seras entourée d’autres femmes qui, comme toi, traversent ces questionnements, et ensemble, vous pourrez vous soutenir et avancer avec plus de confiance.

      Si tu veux en discuter davantage ou explorer comment cette formation pourrait t’aider à te lancer, je serais ravie d’échanger avec toi.

      Merci encore pour ta confiance, et n’hésite pas à me recontacter. À très bientôt, j’espère !

  47. Bonjour Jessica,
    Merci pour cette série de vidéos!
    Un de mes premiers blocages consiste en la peur de ne pas réussir en tant qu’accompagnante car après plusieurs et diverses formations je me sens plus perdue que prête à me lancer. Je n’arrive pas à clarifier mon accompagnement et par la force des choses je ne sais pas comment et par où commencer concrètement. A cela, se rajoute le fait de m’être mise la pression dans le sens où aujourd’hui j’ai tout plaqué pour me lancer dans le coaching humaniste (avec le Human Design) en ligne uniquement et je me sens seule, isolée et avec la crainte de faire ressentir à mes éventuels futurs clients ma peur et mes craintes et ne pas être à la hauteur. Je voudrais tellement arriver à être plus sereine et pouvoir réaliser mon appel profond qui est d’accompagner les femmes, de les aider à retrouver leur essence et leur vrai potentiel pour une vie épanouie.

    1. Bonjour Sanda,

      Merci beaucoup pour ton partage et ta sincérité. Je comprends profondément ce que tu ressens. Après plusieurs formations, il est tout à fait normal de se sentir un peu perdue, surtout quand il s’agit de définir clairement son accompagnement et de savoir comment commencer. C’est encore plus vrai lorsque tu as tout plaqué pour te lancer dans une nouvelle voie, comme le coaching humaniste avec le Human Design.

      Il y a beaucoup de pression lorsqu’on fait un tel choix de vie, et la solitude que tu ressens peut amplifier ces peurs et ces doutes. C’est un grand changement, et tu as déjà fait un pas courageux en te lançant. Le fait que tu ressentes cette crainte de ne pas être à la hauteur et que tes peurs soient visibles pour tes clients est une réalité à laquelle beaucoup de nouvelles accompagnantes font face.

      Mais sache que ces peurs peuvent être apaisées. Tout d’abord, il est essentiel de revenir à toi, à ce qui te fait vibrer, et de clarifier ta vision sans te laisser submerger par le besoin d’être « parfaite » dès le départ. Le fait que tu aies un appel profond à aider les femmes à retrouver leur essence et leur potentiel montre que tu as déjà un fil conducteur puissant.

      Ma formation pourrait justement t’aider à clarifier ton accompagnement, à structurer ton approche tout en respectant ton authenticité. Nous travaillerions ensemble pour te permettre de bâtir ta confiance, te donner des outils concrets pour te sentir plus sereine, et développer cette confiance en toi pour ne pas laisser ces craintes impacter ton accompagnement. Tu n’es pas seule dans ce cheminement, et l’une des grandes forces de la formation, c’est aussi cette communauté de femmes qui se soutiennent mutuellement.

      Si tu penses que cette approche peut t’aider à te recentrer et à faire grandir ta sérénité, je serais ravie d’en discuter avec toi. Ensemble, nous pouvons t’aider à te sentir alignée et prête à faire de cet appel profond une réalité concrète et épanouissante.

      Merci encore pour ta confiance, et n’hésite pas à me contacter si tu souhaites en parler plus en détail. À bientôt, je l’espère !

  48. Bonjour,

    Mon principal blocage je dirais que j’ai l’impression de n’avoir jamais assez de connaissance et compétence pour les autres. Je m’accompagne, je guéris et je pratique. Je ressens au fond de moi que l’accompagnement des femmes m’appelle mais il y a une lutte qui se passe en moi, comme si ce n’est pas concret, je ne peux pas aller vers ça. Il faut travailler et ce n’est pas un travail. Comme une impression qu’aider les autres ce n’est pas une solution viable mais au fond de moi je sens que c’est ma vocation. Je manque de légitimité et j’ai peur.
    L’idéal pour moi en faisant sauter ce point de blocage, j’exercerai toutes mes passions :
    – la gestion d’un endroit d’hébergement et restaurant (je reprends un gîte en pleine nature avec mon compagnon à la fin de l’année)
    – j’accompagnerai des femmes à être bien dans leur corps et leurs tête
    – j’organiserai des semaines bien être en co-création avec d’autres praticiennes
    – j’organiserai des rencontres ponctuelles entres femmes pour développer la sororite dans ce monde

    Je me sens appelé par le bien être féminin et la co-creation.

    1. Bonjour Marina,

      Merci beaucoup pour ton partage si riche et sincère. Ce que tu décris est un sentiment que beaucoup de personnes ressentent, surtout lorsqu’elles se lancent dans l’accompagnement. Cette impression de ne jamais avoir « assez » de connaissances ou de compétences pour aider les autres peut être très paralysante, surtout lorsqu’on a un tel appel en soi, comme tu le ressens pour l’accompagnement des femmes.

      Cette lutte interne que tu évoques — cette idée que « ce n’est pas un vrai travail » — est souvent liée à des croyances profondément ancrées sur ce que signifie le travail, surtout dans notre société où aider les autres et co-créer dans le bien-être est parfois vu comme moins tangible. Pourtant, ce que tu portes en toi est précieux, et cette vocation d’accompagner les femmes à être bien dans leur corps et leur esprit est une réelle contribution à leur épanouissement, mais aussi à la tienne.

      Je vois que tu as déjà une vision très claire et inspirante de ce que tu souhaites créer : reprendre un gîte en pleine nature, organiser des semaines bien-être, rassembler des femmes pour cultiver la sororité… C’est un projet magnifique et qui a du sens. Ton appel à la co-création et au bien-être féminin est puissant, et il mérite d’être écouté.

      Le manque de légitimité et la peur sont des obstacles naturels lorsque l’on sort des sentiers battus pour suivre sa propre voie. Mais imagine ce que tu pourrais accomplir en laissant tomber ces blocages et en te lançant pleinement dans ce projet.

      Ma formation pourrait justement t’aider à dépasser ces peurs et à te sentir plus légitime dans ta démarche. Elle t’accompagnerait à renforcer ta confiance en toi, à te reconnecter à tes compétences et à ton intuition, et à mettre en place une structure concrète pour que ton projet prenne forme et devienne cette réalité que tu ressens au fond de toi. Et, bien sûr, tu ne serais pas seule dans ce cheminement, entourée d’autres femmes qui partagent des aspirations similaires et qui sont là pour te soutenir.

      Si tu souhaites en discuter davantage et explorer comment je pourrais t’accompagner dans cette transition vers ton rêve, je serais ravie d’échanger avec toi. Tu as déjà tout en toi pour réussir, il s’agit maintenant de te donner la permission d’y croire pleinement.

      Merci encore pour ta confiance, et à très bientôt, je l’espère !

  49. Bonjour Jessica, très inspirant, merci. Pour ma.part depuis 7 ans j’accompagne des groupes de femmes – Loona Dance, wombwork, éducation menstruelle. Des bases de somatic, de tantran de tao.
    Mon plus grand défi et peur est de povoter davantage vers 1:1. J’ai récemment terminé ma.formation en feminine embodiment coaching qui est aussi une modalité trauma informé, mais j’ai cette peur: Est-ce que je vais savoir créer la.même magie, les mêmes résultats que j’ai avec des groupes aussi en 1:1? Car l’effet/la.magie/l’énergie génerée au niveau du groupe est en un facteur non-négligeable dans les retours positifs que je reçois. Saurai-je apporter la même qualité et effets en 1:1? Voilà mon partage. Merci.

    1. Bonjour Lenka,

      Merci beaucoup pour ton message et pour avoir partagé si ouvertement ton ressenti. Ton parcours est impressionnant, avec des pratiques si riches comme le Loona Dance, le wombwork, l’éducation menstruelle, ainsi que des bases en somatic, tantra et tao. Ce que tu as construit avec tes groupes de femmes est magnifique, et je comprends parfaitement ta peur de faire la transition vers des accompagnements en 1:1.

      Le travail de groupe génère effectivement une énergie et une dynamique unique, où les participantes se nourrissent mutuellement, créant cette magie collective. C’est un environnement puissant, et les retours positifs que tu reçois en témoignent. Mais le fait que tu te questionnes sur ta capacité à recréer cette « magie » en individuel est tout à fait normal, surtout après avoir eu tant de succès avec les groupes.

      Il est aussi important de comprendre que la posture d’animatrice de groupe est différente de celle d’accompagnante en 1:1. En groupe, tu canalises une énergie collective, et en individuel, tu entres dans une dynamique plus intime et personnalisée. Cette relation individuelle permet d’approfondir chaque aspect du cheminement personnel de la personne, en te concentrant uniquement sur elle et ses besoins spécifiques. C’est une autre forme de magie, plus intime, plus ciblée, où des transformations profondes peuvent se produire grâce à ta capacité à maintenir un espace sécurisant et bienveillant.

      Ce que je peux te dire, c’est que la magie que tu crées avec les groupes vient avant tout de toi — de ta qualité de présence et de ta capacité à créer un espace de transformation. Cette qualité, tu peux aussi la transmettre en 1:1, en te faisant confiance et en adaptant tes outils de manière plus personnelle.

      Si tu souhaites approfondir cette transition, je serais ravie de t’accompagner dans cette démarche, pour que tu puisses te sentir pleinement confiante dans ton rôle d’accompagnante individuelle.

      Merci encore pour ta confiance, et à très bientôt, je l’espère !

  50. Bonjour,

    Comme beaucoup, je manque de confiance en moi, peur de ne pas être légitime pour guider les autres alors que j’ai tellement travaillé sur moi même et j’ai tellement évolué. Je manque également de méthodologie, comment organiser un accompagnement, avec quels outils etc… J’ai donc besoin de me former d’avantage mais les formations qui m’intéressent vraiment coute chère.
    En gros je ne sais pas par où commencer, mon cerveau part dans tous les sens alors que je sais au plus profond de moi que je suis là pour aider et guider les autre.

    1. Bonjour Marine,

      Merci beaucoup pour ton message et ta sincérité. Ce que tu décris — ce manque de confiance, cette peur de ne pas être légitime, et ce besoin de structurer ton accompagnement — est quelque chose que beaucoup de personnes ressentent, même après avoir fait un travail profond sur soi. C’est tout à fait naturel, surtout quand on a cette aspiration à aider les autres, mais qu’on ne sait pas encore par où commencer concrètement.

      Le fait que tu aies déjà énormément évolué et travaillé sur toi est une force précieuse. Cela te donne une base solide pour accompagner les autres, car tu comprends les défis du cheminement personnel. Maintenant, il s’agit de canaliser toute cette énergie et cette évolution en un projet clair, avec une méthodologie et des outils concrets.

      Je comprends aussi que la question financière pour les formations soit un obstacle. Certaines formations peuvent être coûteuses, mais il est possible de trouver un équilibre pour te former tout en respectant ton budget, en allant pas à pas. Ce n’est pas toujours la quantité de formations qui compte, mais plutôt de choisir celles qui te permettront d’acquérir la structure et les outils pour te sentir prête à te lancer. C’est pour cette raison que je propose un plan de paiement élargi, basé sur la confiance, pour que la formation soit le plus accessible possible et qu’elle ne soit pas un frein à ton désir d’évolution.

      Ma formation est justement conçue pour t’accompagner de A à Z dans cette démarche. Elle te donnera une méthodologie claire, des outils concrets pour organiser tes accompagnements, et surtout, elle t’aidera à renforcer ta légitimité et ta confiance en toi. L’objectif est de t’aider à canaliser toutes tes compétences et ton envie d’accompagner, pour te sentir prête à guider les autres de manière sereine et structurée.

      Si cela résonne avec toi, je serais ravie de t’accompagner dans cette étape de clarification et de mise en action. Ensemble, nous pourrions poser les bases de ton accompagnement, sans que tu te sentes submergée ou dispersée.

      Merci encore pour ta confiance, et n’hésite pas à me contacter si tu souhaites en discuter plus en détail. À très bientôt, j’espère !

  51. Bonjour!

    Je suis énergéticienne et communicatrice animale spécialisée dans le domaine équin. Je pratique depuis maintenant 3 ans et je suis en totale réorientation de carrière suite à l’amour, la passion et l’intérêt incroyable de mes nouvelles pratiques.

    J’ai commencé avec la communication animale et je me suis rendue compte que je devais absolument me former pour aider les animaux qui me disaient avoir besoin de soins et d’acccompagnement. Alors je me suis formée en soins énergétiques et je me suis rendu me compte qu’en traitant les animaux je devais absolument aider les gardiennes aussi car beaucoup des énergies et comportements négatifs des animaux étaient partagés de leurs propriétaires! Alors je me suis lancée dans accompagnement cheval-humain, une cliente à la fois j’ai adoré ce que j’ai vécu! Faire des soins aux animaux ainsi qu’aux gardiens afin de les aider dans leurs relations commune et leurs défis de vie personnels! C’est tellement valorisant et magnifique de voir leurs épanouissements et leurs évolutions. 🥹

    Voilà que je choisi de prendre cette voie et d’entreprendre une réorientation de carrière! J’entreprends bientôt de me former en massothérapie équine pour être complète dans mes services et mon approche avec les chevaux.

    Mais le volet développement personnel me passionne alors je veux être capable de d’accompagner davantage mes clientes humaines et devenir une personne remplie de ressources pour les aider au meilleur de mes capacités.

    Je suis rempli de traumas et mes rencontres avec mes clientes me font évoluer sur moi même, souvent je me demande si je les fait autant évoluer qu’elles le font pour moi. Je manque de confiance, je me sens incroyablement imposteur.. j’ai besoin de davantage travailler ma présence et ma capacité à dialoguer, poser les bonnes questions et avoir des réponses qui aideront à la réflexion. Je me retiens beaucoup d’offrir mon aide ou mes services car je me sens pas complète ou compétente..

    Merci pour cette magnifique vidéo! Elle est très inspirante, j’aimerais être capable de parler avec autant d’intelligence et d’assurance! Merci 🌷

    1. Bonjour Mariann,

      Merci infiniment pour ton partage si touchant et sincère. Ton parcours est vraiment inspirant, et la manière dont tu as suivi cette passion de la communication animale, des soins énergétiques, puis de l’accompagnement cheval-humain montre à quel point tu es à l’écoute des besoins qui émergent tout au long de ton chemin. Ce que tu crées, cette connexion entre l’animal et son gardien, est à la fois profond et précieux. C’est une vraie belle mission, et je sens à quel point cela t’épanouit.

      Le fait de se sentir imposteur est un sentiment que beaucoup d’accompagnants et de thérapeutes traversent, surtout lorsqu’ils ont eux-mêmes encore des blessures à guérir. Il est tout à fait naturel de douter, surtout quand on est dans un travail qui touche autant l’âme et l’intime des êtres. Mais il est important de te rappeler que tes traumas, bien qu’ils puissent parfois te freiner, te donnent aussi une capacité à ressentir, à comprendre profondément ce que vivent tes clients, qu’ils soient humains ou animaux.

      Le développement personnel est une belle voie, et je comprends que tu veuilles approfondir tes compétences pour pouvoir accompagner au mieux tes clientes humaines. Travailler ta qualité de présence, ta capacité à dialoguer et à poser des questions qui mènent à des réflexions profondes est un chemin en soi. Ce n’est pas une destination, mais plutôt un processus de développement continu.

      Ma formation pourrait t’apporter cette confiance en toi, te permettre de te sentir plus « complète » et compétente dans ton accompagnement, en te donnant des outils concrets pour poser des questions, pour guider tes clientes dans leurs réflexions, et pour renforcer ta présence. Le but est de te permettre de canaliser ton potentiel et d’acquérir cette assurance pour que tu puisses pleinement offrir tes dons, sans retenue.

      Merci pour ton compliment sur ma manière de m’exprimer, cela me touche beaucoup. Ce que tu crées avec les animaux et leurs gardiennes est déjà magnifique, et je suis certaine qu’en travaillant davantage sur ces aspects, tu te sentiras de plus en plus légitime et alignée dans ce rôle. Si tu ressens que cette formation pourrait t’aider à avancer dans ce sens, je serais ravie d’échanger davantage avec toi.

      Merci encore pour ton message, pour ta belle énergie, et sache que le chemin que tu parcours est précieux, à la fois pour toi et pour les autres. À très bientôt, j’espère ! 🌷

  52. Bonjour, le blocage/la frustration que je rencontre est de constater que les clients manquent trop souvent de discipline pour passer à l’action. Aussi même avec les meilleurs soins et guidance les résultats sont moindre…

    1. Bonjour Lucie,

      Merci beaucoup pour ton partage sincère. Je comprends bien cette frustration. Voir des clients manquer de discipline pour passer à l’action, malgré les soins et la guidance que tu leur apportes, peut être décourageant. C’est une difficulté courante dans le domaine de l’accompagnement, car, au-delà de notre expertise, il y a la responsabilité et l’engagement de chaque personne dans son propre processus de transformation.

      C’est là que le savoir-être d’accompagnante devient crucial. Parfois, au-delà des techniques et des soins, ce qui fait la différence, c’est la manière dont on aide les clients à intégrer les changements dans leur quotidien. Encourager des petits pas, célébrer des victoires même minimes, et comprendre les obstacles internes qui freinent l’action sont des clés essentielles pour aider les clients à rester motivés et disciplinés.

      La notion trauma-informée, qui est au cœur de ma formation, te permettra également de comprendre pourquoi certaines personnes ont du mal à passer à l’action. Beaucoup de blocages liés à la discipline sont profondément ancrés dans des traumas passés qui influencent leur capacité à s’engager et à se transformer. En intégrant cette approche, tu pourras accompagner tes clients avec une meilleure compréhension de leurs résistances, et les soutenir de manière à ce qu’ils puissent aller au-delà de leurs freins.

      Ma formation t’aidera à développer ces compétences, pour non seulement transmettre des outils, mais aussi incarner une posture qui inspire et soutient le passage à l’action. Le but est d’aller au-delà de la simple guidance et d’acquérir les savoir-faire et savoir-être nécessaires pour accompagner tes clients à réellement transformer leur vie, petit à petit, de manière concrète et durable.

      Si cela résonne pour toi et que tu souhaites explorer plus en profondeur comment surmonter ces frustrations, je serais ravie d’échanger davantage avec toi.

      Merci encore pour ta confiance, et j’espère à bientôt !

  53. J’aspire à accompagnée mais j’ai le syndrome de l’imposteur qui me fit que je ne suis pas assez qualifié, pas assez de diplômes ,pas assez de formation… mais je sent que d’accompagner serait un épanouissement en soi,j’adore l’humain et désir faire une différence sans la vue des fans qui croisent mon chemin…merci

    1. Bonjour Chantal,

      Merci pour ton partage sincère. Ce que tu ressens est très courant, surtout dans le domaine de l’accompagnement. Le syndrome de l’imposteur peut être un véritable obstacle, il nous fait croire que nous ne sommes pas « assez » — pas assez qualifiée, pas assez formée, pas assez diplômée. Pourtant, accompagner les autres, c’est avant tout une question de qualité de présence, d’écoute, et d’authenticité, des qualités qui ne dépendent pas de la quantité de diplômes.

      Le fait que tu ressentes un appel profond à accompagner, que tu adores l’humain et que tu souhaites sincèrement faire une différence, est un signe très fort. L’épanouissement que tu cherches peut venir en suivant ce chemin, non pas en te comparant aux qualifications des autres, mais en te connectant à ta capacité naturelle d’accompagner et de faire une différence.

      Ma formation n’est pas juste un apprentissage de techniques, c’est avant tout un travail sur le savoir-être, pour que tu puisses pleinement intégrer la posture d’accompagnante. Il s’agit de t’accompagner à développer ta confiance en toi, à renforcer cette légitimité que tu as déjà en toi, et à apprendre à te sentir bien dans cette position de soutien envers les autres.

      Si cela résonne avec toi, je serais ravie d’échanger davantage pour t’aider à faire ce premier pas vers un épanouissement authentique, en accompagnant les autres sans te laisser freiner par ces doutes.

      Merci encore pour ta confiance, et j’espère avoir l’opportunité de t’accompagner sur ce beau chemin. À très bientôt !

  54. Bonjour Jessica,
    J’ai commencé à me former dans l’énergétique il y a maintenant 7 ans. J’ai accompagné des personnes au début, puis j’ai tout arrêté. Je ne me sentais pas légitime, et je ne me sens toujours pas légitime! Je me dis que j’ai encore trop de « zones d’ombres », et que je dois aller super bien pour m’autoriser à être accompagnante.
    Je me suis aussi auto-convaincue que travailler seule ne me conviendrait pas, que voir des personnes qui ne vont pas bien toute la journée risque de me plomber encore plus.
    Et puis il y a cette peur de ne pas avoir de revenu régulier et suffisant.
    Aussi, pour moi, la thérapie purement énergétique n’est pas suffisante, il me paraît important de « travailler » sur le corps physique en complément.

    1. Bonjour Caroline,

      Merci beaucoup pour ton message et pour partager avec autant de transparence ce que tu ressens. Je comprends très bien ces doutes et cette impression de ne pas être légitime, même après toutes ces années de pratique. C’est une réalité que beaucoup de personnes dans l’accompagnement vivent, surtout lorsqu’on sent que l’on a encore des « zones d’ombre » à explorer.

      L’idée que tu doives aller « super bien » avant de pouvoir être accompagnante est quelque chose de compréhensible, mais c’est aussi une grande pression que tu te mets. Personne n’est totalement guéri, et souvent, ce sont justement nos zones d’ombre qui nous rendent plus capables de comprendre et d’accompagner les autres. Être accompagnante, c’est avant tout être humaine, être en chemin, et apprendre à offrir sa présence et son écoute malgré ses propres imperfections.

      Je comprends aussi ta crainte de travailler seule et de te sentir « plombée » par le mal-être des autres. Mais ce que je souhaite te transmettre, c’est que dans mon approche, tu ne passeras pas tes journées à écouter des récits de vie difficiles. Mon approche est corporelle, ce qui nous emmène dans des paysages plus symboliques des vécus des personnes. Cela signifie que nous travaillons à libérer ce qui est retenu dans le corps, souvent sans avoir besoin de revisiter en détail les expériences difficiles. Cette manière de travailler allège la charge émotionnelle pour l’accompagnant, tout en permettant des transformations profondes chez les personnes que l’on accompagne.

      En ce qui concerne l’aspect purement énergétique des soins, je suis entièrement d’accord : intégrer le corps physique est essentiel. Mon approche est conçue pour être trauma-informée, c’est-à-dire qu’elle tient compte des répercussions des traumas sur le corps, et propose des outils pour les adresser de manière plus holistique, en travaillant autant sur le corps physique que sur le niveau énergétique et émotionnel.

      Je comprends également tes inquiétudes financières, qui sont tout à fait légitimes. L’incertitude des revenus est une préoccupation courante dans le domaine de l’accompagnement, mais il est possible de construire progressivement ta pratique, tout en posant des bases solides pour générer une sécurité financière.

      Si tu sens que ce que je propose pourrait t’aider à retrouver ta légitimité et à franchir ces obstacles, je serais ravie d’en discuter davantage avec toi. Je suis convaincue que tu as en toi tout ce qu’il faut pour être une accompagnante qui fait une vraie différence, et parfois, il suffit de quelques ajustements et de soutien pour pouvoir l’incarner pleinement.

      Merci encore pour ta confiance, et à très bientôt, je l’espère !

  55. Bonjour, merci pour cette superbe intro qui a su résonner en moi..je me suis reconnu dans la croyance limitante de ce qu on appelle souvent syndrome de l inposteur.
    J etais estheticienne pendant i ans où j etaos épanouie ou je cartonné mais j ai malheuresement ete sujette à un trés mauvais choix personnel qui au départ m a valu paetir dans le domaine medical dans la strategie de stabilité professionnel où finalement je me suis perdue et abandonné. Pourtang il y a un an de ca maintenant à.force de lecture et de devzloppeemt personnel car le bien être ne m a jamais quitté il a toujours ete là d une quelque manière je me suis rapproché de qui j etais. Aujourd huu ca fait une semaine que j ai decidé de me lancer comme socioestheticienne art.praticienne et conseimmere pour une superbe marque et plurtant meme si je sens cet elan je me sens envahit par le stress de ne pas etrz a la hauteur, raisonnable je suis deroutée car meme.si je suis riche d informations je persiste a ne pas.me sentir legitime..allrs que l accompagnement ma douceur gait partie de moi car sans cesse dans mon metier d aide soignante on voit comme celle qui sait apaiser le corps et l esprit..

    Merci pour ce partage. Hate de decouvrir la suite.

    1. Bonjour,

      Merci beaucoup pour ton partage si touchant et sincère. Ce que tu décris est un parcours très riche, avec des hauts et des bas qui t’ont ramenée finalement à ce qui te faisait vibrer dès le début : le bien-être et l’accompagnement. Le chemin que tu as traversé, de l’esthétique à l’aide soignante, puis maintenant à la socioesthétique, montre une vraie capacité d’adaptation et une belle volonté de rester connectée à ce qui te tient à cœur, malgré les détours.

      Le syndrome de l’imposteur, cette croyance limitante qui te fait penser que tu n’es pas « à la hauteur », est souvent très fort lorsque l’on se réinvente ou que l’on revient à une passion après un temps d’éloignement. Mais la vérité, c’est que ton parcours, même dans le médical, t’a apporté une richesse et une profondeur que beaucoup n’ont pas. Le fait que tes collègues voient en toi quelqu’un qui sait apaiser le corps et l’esprit prouve que tu as ce don en toi, cette qualité de présence qui est essentielle dans l’accompagnement.

      Ton stress de ne pas être « raisonnable » et tes doutes sur ta légitimité sont compréhensibles, mais rappelle-toi que cette douceur, cette capacité à apaiser et à accompagner, est déjà en toi. Ce n’est pas quelque chose que l’on apprend uniquement dans les livres, c’est une qualité humaine, et tu la possèdes déjà.

      Ma formation pourrait t’aider à renforcer cette légitimité intérieure et à transformer ce stress en une énergie positive qui te permettrait de t’affirmer pleinement dans ce nouveau rôle. L’idée est de t’accompagner à intégrer ta posture d’accompagnante, au-delà des techniques, et à te reconnecter à cette part de toi qui sait apaiser et guider les autres. Tu as en toi tout ce qu’il faut pour réussir, il s’agit maintenant de te donner la permission d’y croire.

      Merci encore pour ta confiance, et j’espère que la suite des vidéos continuera à résonner avec toi. Si tu veux en discuter davantage, je serais ravie d’échanger. À très bientôt, je l’espère !

      1. Merci pour ta réponse. C’est exactement cela je te remercie beaucoup pour cette prise de temps.
        J’aimerai suivre tes formations. D ailleurs j’ ai tenté de m inscrire mais il n y a plus de place. J’ai toutefois tenté de mettre mon mail pour être sur liste d attente mais il ne souhaite pas le prendre. Peux t on changé notre mail sans avoir besoin de recommencer le processus?

        Merci encore. Une source d’inspiration tu es.

  56. Je fais des formations mais j’ai dû mal à me lancer. Le syndrome de l’imposteur est trop présent. Je ne me sens pas légitime, pas assez bonne pour avoir le droit d’accompagner les gens. Moi-même je n’arrive pas à régler mes problèmes, comment je pourrais aider les autre à le faire…

    1. Merci beaucoup, Christine, pour ton partage sincère. Ce que tu ressens est quelque chose de très courant, surtout lorsque l’on est au début de son parcours d’accompagnante. Le syndrome de l’imposteur peut être extrêmement envahissant, te faisant croire que tu n’es pas assez bonne ou que tu n’as pas le droit d’accompagner les autres parce que tu n’as pas encore réglé tous tes propres problèmes. Pourtant, être une bonne accompagnante ne signifie pas être parfaite ou avoir tout réglé, mais plutôt être capable de tenir un espace bienveillant et sécurisant pour les autres.

      Ton parcours et tes expériences, même avec leurs défis, te donnent une richesse que tu peux partager avec les autres. Le fait que tu aies traversé tes propres difficultés te rend d’autant plus capable de comprendre ce que les autres traversent. L’accompagnement, ce n’est pas offrir des solutions toutes faites, mais c’est accompagner l’autre dans son propre cheminement avec authenticité et présence.

      Je comprends que tu ne te sentes pas encore prête à te lancer, mais il est important de se rappeler que l’accompagnement est un chemin qui se construit aussi au fur et à mesure que l’on pratique. Ma formation est conçue pour te soutenir dans ce processus. Elle t’aide à travailler sur ta légitimité, à développer une posture d’accompagnante qui repose sur le savoir-être et sur ta capacité à écouter et à soutenir, même si toi-même tu es toujours en chemin.

      L’idée est de ne pas attendre d’être « parfaite » pour accompagner, mais plutôt de te sentir suffisamment outillée et en confiance pour offrir ce que tu as déjà en toi, et avancer en même temps que tes clients. Si cela te parle, je serais ravie d’échanger davantage et de t’accompagner sur ce chemin pour que tu puisses transformer ce syndrome de l’imposteur en une force qui te rend encore plus humaine et présente dans ton accompagnement.

      Merci encore pour ta confiance, et à très bientôt, je l’espère !

  57. Bonjour, je me suis lancée dans mon activité bien être soin énergétique. Ça été du bouche à oreille, et maintenant c’est calme pas assez visible. Le syndrome de l’imposteur refait surface de temps à autre . J’aimerais pouvoir retrouver mon plein potentiel et aider mon prochain.

    1. Bonjour Malika,

      Merci beaucoup pour ton message et pour partager ton ressenti si ouvertement. C’est tout à fait normal que le syndrome de l’imposteur refasse surface, surtout lorsque l’activité ralentit après un bon démarrage grâce au bouche-à-oreille. Ces moments de creux peuvent amener des doutes et des questionnements sur ta légitimité ou ton capacité à continuer d’aider les autres.

      Ce qui est important à retenir, c’est que ce calme ne remet pas en cause tes compétences ou ta capacité à accompagner et aider les autres. Cela fait partie du processus de croissance, et il est souvent nécessaire de prendre un peu de recul pour te reconnecter à ton plein potentiel et à ce qui t’a motivée à te lancer au départ.

      Il est également possible que ce soit le bon moment pour travailler sur ta visibilité. Peut-être qu’au-delà du bouche-à-oreille, il serait utile de développer d’autres moyens pour te rendre plus visible et faire connaître ton activité. Que ce soit par des ateliers, une présence en ligne, ou d’autres canaux, l’idée est de continuer à montrer au monde ce que tu offres.

      Concernant le syndrome de l’imposteur, sache que c’est un compagnon de route que beaucoup d’accompagnants rencontrent à chaque étape. Il s’agit de ne pas le laisser prendre trop de place, mais plutôt de te rappeler que tu as déjà aidé et accompagné avec succès, et que tu peux continuer à le faire.

      Ma formation pourrait t’aider à renforcer cette légitimité intérieure et à te reconnecter à ce plein potentiel, tout en t’offrant des outils pour te rendre plus visible sans perdre ta propre authenticité. Je serais ravie de t’accompagner pour que tu puisses non seulement retrouver cette confiance, mais aussi continuer à aider les autres de manière durable et alignée.

      Merci encore pour ta confiance, et n’hésite pas à me contacter si tu souhaites en discuter davantage. À très bientôt, je l’espère !

  58. Bonjour Jessica

    J aspire à devenir accompagnant, c edt le manque d Expertise qui me bloque, en effet je cherche une méthode holistique qui me permettrait de me sentir légitime, et équipé d outils ,en plus de mes qualités propres!

    1. Bonjour Laetitia,

      Merci beaucoup pour ton message et pour partager ce que tu ressens. Je comprends tout à fait ce blocage lié au manque d’expertise, et cette quête d’une méthode holistique qui pourrait te permettre de te sentir légitime et bien équipé pour accompagner les autres. C’est tout à fait naturel de vouloir te sentir à la fois outillé et en confiance avant de te lancer pleinement.

      Ma formation propose justement une méthode holistique, qui allie des techniques corporelles, émotionnelles et énergétiques. Elle te permet de développer une posture d’accompagnant en intégrant des outils concrets tout en travaillant sur ton savoir-être. L’idée est que tu puisses te sentir pleinement légitime, équipé d’une méthode qui te ressemble, et capable d’accompagner tes clients de manière globale et respectueuse de leur cheminement.

      Si tu souhaites explorer cette approche plus en détail et voir comment je peux t’aider à te sentir plus légitime et confiant, je serais ravie d’échanger avec toi. Merci encore pour ta confiance, et j’espère à très bientôt !

  59. Bonjour,
    Mon plus gros blocage est l’illegitimité comme beaucoup je pense, qui s’accompagne au rapport à l’argent… du coup je fais beaucoup de bénévolat pour l’instant car des qu’il s’agit de parler de paiement ça bloque (peur que se soit trop cher pour la personne, qu’elle n’ait pas les moyens alors qu’elle en a besoin, etc). J’ai toujours travaillé dans le sanitaire et social, le rapport humain, l’aide… je ne me vois pas et ne me sens pas faire autre chose. Cela me fait vibrer au plus profond de mon être donc si je me suis lancé en tant que thérapeute holistique et soin énergétique c’est avant tout pour aider… à partir du moment où je vis correctement (que j’arrive à me sortir un salaire convenable pour payer mes factures et combler mes besoins primaires ainsi que ceux de mes enfants), ça me convient amplement…
    Du coup obligé de prendre un 2e emploi pour l’instant mais que je vais arrêter au mois de décembre pour pouvoir me consacrer pleinement aux services que je propose… oser parler rémunération deviendra donc mon prochain challenge 😅

    1. Bonjour,

      Merci beaucoup pour ton message et pour partager ce que tu ressens. Je comprends tout à fait ce blocage lié au manque d’expertise, et cette quête d’une méthode holistique qui pourrait te permettre de te sentir légitime et bien équipé pour accompagner les autres. C’est tout à fait naturel de vouloir te sentir à la fois outillé et en confiance avant de te lancer pleinement.

      La bonne nouvelle, c’est que tu as déjà des qualités propres qui sont essentielles pour l’accompagnement, et qui ne s’apprennent pas dans les livres : l’écoute, l’empathie, la capacité à être présent pour les autres. Ces qualités sont des bases solides. Ce qu’il te manque, ce sont peut-être simplement les outils pratiques et la structure pour te sentir plus en confiance dans ton approche.

      Ma formation propose justement une méthode holistique, qui allie des techniques corporelles, émotionnelles et énergétiques. Elle te permet de développer une posture d’accompagnant en intégrant des outils concrets tout en travaillant sur ton savoir-être. L’idée est que tu puisses te sentir pleinement légitime, équipé d’une méthode qui te ressemble, et capable d’accompagner tes clients de manière globale et respectueuse de leur cheminement.

      Si tu souhaites explorer cette approche plus en détail et voir comment je peux t’aider à te sentir plus légitime et confiant, je serais ravie d’échanger avec toi. Merci encore pour ta confiance, et j’espère à très bientôt !

  60. Je suis art-thérapeute et j’ai déjà réalisé une formation sur les manières de travailler les traumatismes par les arts.
    Ce sujet me passionné tout particulièrement car je me specialise de plus en plus et ma patientel vient souvent pour cela.
    Comme certain trauma son très difficile je me remet continuellement en question ce qui me fait grandement, mais faut régulièrement revoir ma pratique aussi. D’où ma curiosité sur ta formation.

    1. Merci pour ton partage sincère, Ophélie. C’est inspirant de voir à quel point tu es investie dans ton travail d’art-thérapeute, et que tu continues de te spécialiser dans l’accompagnement des traumas. C’est un domaine complexe et profond, et ta volonté de te remettre en question montre déjà à quel point tu es engagée dans ton rôle.

      Les traumas, surtout les plus difficiles, peuvent en effet amener à douter et à se questionner, car ils touchent des couches profondes de l’humain. Mais ces remises en question, bien qu’elles puissent parfois sembler lourdes, sont en réalité un atout : elles te permettent de rester consciente, humble et ouverte à apprendre, ce qui est essentiel dans l’accompagnement.

      Si tu sens que ces doutes prennent parfois trop de place, il peut être utile de consolider ta posture d’accompagnante pour te sentir plus stable face à ces situations. L’accompagnement des traumas ne signifie pas que tu dois porter la douleur de tes patients, mais plutôt que tu peux leur offrir un espace sécurisant où leur vécu peut être exprimé ou transformé à travers les arts, sans que tu te sentes submergée.

      Ma formation, qui est trauma-informée, pourrait t’aider à approfondir ces aspects, en renforçant ta confiance et en te donnant des outils pour mieux naviguer dans ces situations complexes, tout en préservant ton énergie. Une approche corporelle et symbolique peut aussi t’aider à travailler avec les traumas de manière plus légère pour toi, sans nécessairement revisiter le détail du vécu difficile.

      Si tu souhaites en discuter davantage ou si tu veux voir si cette approche pourrait te convenir, je t’invite à prendre un appel découverte. Nous pourrions échanger sur tes besoins et voir comment je peux t’accompagner dans cette belle démarche. Merci encore pour ton partage et ton engagement dans ce travail si précieux. À bientôt, je l’espère !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *