Ou pourquoi tu ne peux pas guider un chemin que tu n’as pas encore traversé
Il y a une confusion énorme dans le monde de l’accompagnement.
On enseigne des outils, des techniques, des protocoles.
On parle de posture, d’écoute, de limites.
On exige de la bienveillance, de la présence, de la justesse.
Mais on oublie le point central.
Celui qui fait la différence entre une accompagnante qui impacte…
et une accompagnante qui s’épuise.
Savoir s’accompagner soi-même.
C’est la fondation que presque aucune formation ne transmet réellement.
Et pourtant, c’est le socle de tout.
Parce que tu ne peux pas accompagner quelqu’un plus loin que là où tu es allée toi-même.
Pas parce qu’il faut être parfaite.
Pas parce qu’il faut tout régler.
Mais parce que ton corps, ton système nerveux et ta posture intérieure parlent avant tes mots.
C’est ça que tes clientes ressentent.
C’est ça qui crée la sécurité.
C’est ça qui fait la différence entre une pratique qui dure…
et une pratique qui te prend toute ton énergie.
S’accompagner soi-même, c’est d’abord comprendre ton système nerveux
Avant d’accompagner qui que ce soit, tu dois comprendre comment tu fonctionnes toi.
Quand tu tends vers le figement.
Quand tu passes en mode hyper.
Quand ton corps accélère sans raison.
Quand tu perds tes repères.
Quand tu veux sauver pour calmer ton propre inconfort.
Quand tu absorbes l’émotion de l’autre parce que la tienne n’a pas de place.
La majorité des accompagnantes n’ont jamais appris à observer ça.
Elles connaissent les outils.
Elles connaissent la théorie.
Mais elles ne comprennent pas ce que leur corps raconte.
Et un système nerveux non régulé influence tout:
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ta capacité à écouter
-
ta capacité à rester stable
-
ta capacité à laisser l’autre vivre son expérience
-
ta capacité à poser un cadre
-
ta capacité à dire stop
-
ta capacité à accompagner sans t’épuiser
Sans régulation interne, tu accompagnes depuis le stress.
Depuis la peur de mal faire.
Depuis le besoin de prouver.
Depuis tes blessures.
Depuis ton mental qui court derrière le contrôle.
Tu n’es pas en posture.
Tu es en survie.
Ce que ça crée en séance
Quand tu ne sais pas t’accompagner toi-même, tu le sens immédiatement en séance.
Une cliente pleure et ton corps se serre.
Une cliente se dissocie et tu perds pied toi aussi.
Une cliente s’agite et tu veux la calmer trop vite.
Une cliente reste silencieuse et tu paniques intérieurement.
Tu veux aider.
Tu veux bien faire.
Tu veux donner la bonne réponse, le bon outil, la bonne direction.
Mais tout ça, c’est une fuite.
Une fuite de ton propre inconfort intérieur.
Ce n’est pas de la posture.
Ce n’est pas de l’accompagnement.
C’est ton système nerveux qui prend le contrôle.
Et tu le sais.
Tu le sens.
Et tu finis la journée vidée.
Avec ce sentiment de ne pas avoir été à la hauteur.
Tu ne manques pas de compétences.
Tu manques de régulation.
S’accompagner, ce n’est pas faire du self care
On confond souvent.
S’accompagner, ce n’est pas:
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faire un bain chaud
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pratiquer du yoga
-
méditer dix minutes
-
respirer quand ça déborde
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faire trois affirmations
-
se secouer
-
se tapoter
C’est autre chose.
C’est ta capacité à te rencontrer à l’intérieur.
C’est entrer en lien avec toi.
Observer tes réactions internes sans les juger.
Savoir te ramener dans ton axe.
Comprendre ce qui t’appartient et ce qui appartient à l’autre.
Ne plus te perdre dès que l’autre vit quelque chose de fort.
Ne plus confondre empathie et confusion.
C’est une compétence professionnelle.
Pas un petit plus.
Pas un bonus.
Une compétence indispensable.
Marcher le chemin que tu veux transmettre
Tu peux avoir lu tous les livres du monde.
Tu peux avoir fait dix formations.
Tu peux connaître tous les outils.
Si tu n’as pas marché le chemin, ton corps ne sait pas.
Et si ton corps ne sait pas, tu ne peux pas guider correctement.
Savoir s’accompagner soi-même te donne:
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de la stabilité
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de la présence
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de la clarté
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de la lucidité
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de la transparence
-
et surtout, une posture qui se sent
Parce que les clientes ne cherchent pas une technicienne.
Elles cherchent une personne stable.
Une personne qui ne s’effondre pas.
Une personne qui tient un espace.
Une personne qui a traversé, qui a compris, qui a intégré.
Les accompagnantes qui n’ont pas marché le chemin parlent beaucoup.
Celles qui l’ont traversé parlent moins, mais incarnent plus.
La sécurité vient d’abord de toi
C’est ton système nerveux qui crée la sécurité.
Pas tes outils.
Pas tes mots.
Pas ton sourire bienveillant.
C’est la stabilité que tu dégages.
C’est ta capacité à rester présente quand l’autre vit quelque chose d’intense.
C’est la solidité de ton cadre.
C’est ta relation à toi.
Tu deviens une accompagnante confiante, légitime et crédible quand ton corps est cohérent avec ton discours.
Quand ce que tu dis, ce que tu fais et ce que tu vibres vont dans la même direction.
Ce que ça change pour ta pratique et ta vie
Quand tu apprends à t’accompagner toi-même:
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tu arrêtes de porter ce qui ne t’appartient pas
-
tu arrêtes de vouloir sauver
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tu arrêtes de t’épuiser
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tu deviens plus claire
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tu deviens plus stable
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tu deviens plus professionnelle
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tu deviens plus impactante
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tu attires des clientes prêtes
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tu gagnes en légitimité
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tu gagnes en confiance
-
ton activité commence à prendre du sens
En 2026, les accompagnantes qui marcheront leur chemin seront celles qui se démarqueront.
Celles qui incarnent.
Celles qui osent être vraies.
Celles qui tiennent leur posture même quand la vie bouge.
Parce qu’on ne peut pas accompagner dans le chaos quand on vit dans le chaos à l’intérieur.
Et c’est exactement ce que je t’enseigne dans SomaLuna
SomaLuna n’est pas une formation.
C’est un apprentissage de toi.
Un apprentissage de ta régulation.
Un apprentissage de ta posture.
Un apprentissage de l’accompagnement éthique et somatique.
Tu apprends à t’accompagner toi pour accompagner les autres.
Tu apprends à tenir un espace sans te perdre.
Tu apprends à être confiante, légitime et crédible.
Tu apprends à marcher ton chemin.
Tu apprends à créer une activité qui a du sens.
Tu veux devenir une accompagnante confiante, légitime et régulée ?
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