Et si ton parcours était la clé de ton impact ?
Tu veux accompagner les autres avec profondeur, mais ton histoire personnelle te semble parfois trop lourde ? Tu as l’impression qu’elle te freine, qu’elle te rend « trop » sensible, « trop » vulnérable ? Et si, justement, c’était cette histoire — ton vécu, ton cheminement, ta résilience — qui pouvait devenir ta plus grande force ?
La vérité que peu osent dire : la transformation ne se force pas
Pendant longtemps, la société nous a appris à “aller mieux” en se battant. À “travailler sur soi” comme on monte une côte en courant. À chercher des outils, des clés, des étapes, des “plans de guérison”.
Mais cette logique de performance appliquée à notre intériorité est souvent un piège. Car la transformation intérieure ne répond pas à la force brute. Elle ne se produit pas à coups d’objectifs, de pression, ou de “bons conseils”.
Elle a besoin de sécurité.
Pourquoi forcer aggrave souvent les blessures
Forcer le changement, c’est envoyer un message implicite à son corps : « ce que tu ressens n’est pas OK ». C’est brusquer des émotions qu’on n’a jamais eu l’occasion de vraiment accueillir. Et c’est parfois recréer inconsciemment des contextes d’insécurité… là même où l’on cherche à aller mieux.
Résultat ?
le corps se referme
les anciens schémas reviennent
la honte s’installe
la confiance en soi diminue
Ce n’est pas un manque de volonté. C’est un besoin de sécurité émotionnelle non honoré.
Tes "murs" sont des gardiens, pas des obstacles
On parle souvent de “parts saboteuses” comme d’ennemies intérieures. On veut les éliminer, les contourner, ou les faire taire. Mais ces parties de toi ne sont pas là pour te bloquer.
Elles sont là parce qu’un jour, tu en as eu besoin.
Elles t’ont protégé.e. Elles ont géré des peurs trop grandes pour toi à l’époque. Elles ont construit des murs… non pas pour t’enfermer, mais pour te maintenir en vie.
Les rejeter, c’est rejeter l’intelligence de ton corps. Les écouter, c’est commencer à bâtir un espace sûr.
Ce que signifie vraiment “transformer son histoire”
Transformer son histoire ne veut pas dire tout effacer, tout oublier, tout lisser.
C’est reconnaître ce que tu as vécu.
C’est honorer ton chemin, avec ses creux et ses sommets.
C’est donner du sens.
Et c’est choisir, à partir de cette lucidité, ce que tu veux en faire.
Tu ne deviens pas « meilleur.e » parce que tu as souffert. Mais tu deviens plus conscient.e. Plus ancré.e. Et cette profondeur fait toute la différence dans ta posture d’accompagnant.e.
Comment créer un espace de sécurité pour toi (et pour les autres)
1. La régulation du système nerveux comme fondation
Le système nerveux est ton baromètre de sécurité. Quand il est surchargé, il bloque l’accès aux ressources. Quand il est régulé, il ouvre la voie à l’écoute, à la créativité, à l’intuition.
Créer un espace sûr commence donc par te réguler toi-même. Respiration, mouvement, ancrage… Peu importe la technique. Ce qui compte, c’est que ton corps sente qu’il peut relâcher.
2. La reconnaissance de tes propres limites
Tu n’as pas besoin d’être parfaite. Tu n’as pas besoin d’avoir tout « réglé ». Ce que tu proposes, c’est un cadre de sécurité, pas une recette magique.
Accueillir tes limites, c’est déjà offrir un immense cadeau à celles que tu accompagnes.
3. L’intégration émotionnelle au lieu de la suppression
Il ne s’agit pas de “gérer” tes émotions, ni de les transformer à tout prix. Il s’agit de les rencontrer. De les ressentir. De les laisser circuler sans t’identifier à elles.
C’est ce que j’appelle : la présence régulée.
Pourquoi ton histoire a de la valeur dans ton accompagnement
Parce qu’elle te rend capable de comprendre au-delà des mots
Parce qu’elle t’a appris la nuance, l’empathie, la patience
Parce qu’elle te connecte à une posture d’humilité
Parce que tu n’es pas “au-dessus” de l’autre, mais en lien
Ta vulnérabilité peut devenir ton outil le plus puissant. Pas parce que tu l’exposes en séance, mais parce que tu as appris à la traverser avec conscience.
L’atelier : transformer ton histoire en force pour mieux accompagner
J’ai créé cet atelier pour t’aider à faire ce pas. À transformer ton parcours en ressource. À ne plus voir ton passé comme un fardeau, mais comme un socle.
Concrètement, tu y apprendras à :
identifier ce qui, dans ton vécu, nourrit ta posture d’accompagnante
faire la paix avec les parties de ton histoire que tu redoutais
bâtir une posture authentique, solide et sensible
ancrer une nouvelle relation à toi, plus douce, plus stable, plus impactante
Cet atelier est fait pour toi si :
tu sens que ton passé est encore lourd, mais tu refuses qu’il définisse ton futur
tu veux accompagner sans t’épuiser, sans te perdre, sans surcompenser
tu sais que ton histoire a du sens, mais tu ne sais pas comment en faire une force au service des autres
Comment rejoindre l’atelier ?
Commente « Je suis prêt.e » sous ce post, ou envoie-moi simplement un message privé. Je t’enverrai toutes les infos pour rejoindre cette expérience.
Ta plus grande contribution commence ici
Tu n’as pas besoin d’être guéri.e pour accompagner.
Tu as besoin d’un espace sûr.
Et ça commence par toi.
Fais de ton histoire un socle.
De ta vulnérabilité, une force.
De ton chemin, un tremplin pour aider les autres à se rencontrer eux-mêmes.
2 réponses
Je suis prete
Bonjour Amandine,
Je t’envoie un mail avec l’invitation pour l’atelier.
au plaisir,
Jessica