Cette semaine, j’ai envie de te partager cette très belle réflexion sur la fin du monde, que nous avons eu mon compagnon Amin et moi, il y a quelques jours.
Depuis que je me souviens, on a constamment entendu dire que la fin du monde qui arrive !
Cette annonce permanente de la toute proche apocalypse te crée peut-être une certaine anxiété, un sentiment d’état d’urgence ou une impossibilité à réaliser tes projets.
Si cela t’arrive de vivre ces différents états, je t’invite dans cette réflexion.
ne réflexion sur la fin du monde ! : La menace permanente.
Je suis née dans les années 80 et je me souviens bien de la première fin du monde dont on parlait, c’était celle des années 2000.
Ce fameux changement de siècle, de chiffre de 1900 à 2000 qui allait créer un crash internet et plonger la planète dans un blackout !
Est-ce arrivé ?
Non.
Ensuite, il y a eu les attentats qui ont amené une nouvelle version de la fin du monde.
Le monde prenait conscience du terrorisme et de ces personnes qui prenaient des avions pour les cracher sur des tours.
Cette version nous ramenait à notre notion de sécurité et déjà à notre liberté.
En 2008, pour les Européens principalement, il y a eu le crash des banques, et c’était une nouvelle fois l’annonce de l’effondrement de notre société.
Puis, la fin du monde du calendrier Maya en 2012, je t’avoue que celle-là, moi, j’y croyais vraiment beaucoup.
Je pensais qu’il y allait avoir quelque chose de nouveau.
Dans cette variante régnait une certaine vague d’exotisme.
Mais, cela non plus, ce n’est pas arrivé.
Comme rien ne s’est pas passé, certaines personnes ont répandu l’idée que la date n’était pas bonne et qu’il s’agissait en réalité de 2021.
Mais toujours rien.
Maintenant, il y a la pandémie.
Et celle-ci est une nouvelle version de la fin du monde, telle que l’on se l’imagine.
Une réflexion sur la fin du monde ! : La peur de l’effondrement et la complexité des sentiments humains.
Quand tu regardes les médias, les informations, tu as cette sensation permanente que la fin du monde approche, l’apocalypse, le blackout !
Et je suis bien d’accord que c’est extrêmement anxiogène.
En quelque sorte, j’ai l’impression qu’il y a une partie de nous qui aime cette idée de la fin du monde en permanence, car elle nous oblige à vivre pleinement le moment présent, à profiter de chaque instant, à créer, à réaliser.
Et d’un autre côté, une partie de nous qui déteste cela parce que cette idée induit qu’il n’y a plus de stabilité, plus de sécurité.
Lorsque tu bascules d’un extrême à l’autre, que tu es en souffrance, que tu te sens perdu .e, cela peut t’amener à des états de dépression, de ne plus croire en la vie et de ne plus oser avoir des objectifs.
Il y aura toujours une fin du monde.
Pour t’aider à te recentrer sur l’instant présent quand cela t’arrive, je t’invite à suivre une pratique guidée de respiration que je te partage ICI.
Une réflexion sur la fin du monde ! : Il y aura toujours une fin de notre monde à nous.
Et si l’on se posait sur l’idée de la fin du monde, quelle sagesse pourrions-nous en retirer réellement ?
Oui, il y a toujours une fin du monde.
De notre monde à nous.
On ne sait jamais ce qu’il peut arriver et personne ne le sait.
Cependant, tu as toujours la possibilité, si le monde dans lequel tu vis ne te convient pas, ton monde intérieur, de mettre fin à ce monde et de partir vers un nouveau.
Alors, je ne pense pas que l’apocalypse soit quelque chose d’aussi radical, qu’à une date, à une heure précise, tout s’effondrera soudainement sous nos pieds !
À mes yeux, c’est plutôt un chemin à faire.
Une réflexion sur la fin du monde ! : La sagesse transmise par l’apocalypse.
Qu’est-ce que cette fin du monde pourrait nous transmettre ?
Selon moi, c’est de vivre en accord le plus possible avec qui nous sommes, de profiter de qui nous sommes, de ce corps que nous avons, des possibilités qu’il nous offre, des personnes que nous aimons et qui nous entourent, de la planète.
En profiter, bien entendu, de manière équilibrée.
Tu peux décider de vivre la fin du monde comme quelque chose de boostant qui te permet de cheminer vers qui tu es, vers l’homme ou la femme de tes rêves.
Tu as le choix de voir les choses différemment que ce qui est véhiculé par les médias : « Ouh ! C’est anxiogène, c’est difficile, c’est blessant, c’est de la souffrance, de la dépression ! »
Ce choix t’appartient, car il y aura toujours une fin du monde quelque part à n’importe quel moment.
Personne ne peut le prévoir.
Les médias ne manqueront pas de continuer à s’approprier la moindre suspicion d’effondrement et de nous le montrer.
Comme en ce moment où l’on voit ce volcan en éruption depuis plusieurs jours à Palma de Majorque, des personnes qui ont perdu la vie, leurs maisons.
Ceci sans minimiser, bien entendu, la détresse de ces personnes.
Mais il se passera toujours quelque chose de grave quelque part, comme toutes les catastrophes naturelles et tout ce qu’il se passe dans le monde.
Donc, oui il y aura toujours une fin du monde à un moment, à toi de décider comment tu la perçois.
Est-ce que tu prends cette fin du monde comme quelque chose qui va te permettre de faire un petit pas chaque jour vers qui tu es et ce que tu désires ?
Et je t’invite à lire un de mes articles, ICI, pour t’apporter plus de pistes.
Ou vas-tu décider que cette fin du monde va t’empêcher de vivre ta vie telle que tu le souhaites ?
Vas-tu choisir que toutes ces sensations, ces sentiments de peurs, d’excitation, d’insécurité vont te disperser et t’empêcher d’avancer vers qui tu es ?
Et quand je parle d’avancer, ce n’est pas aller d’un point à un autre.
En réalité, je préfère utiliser les mots : « rentrer en soi ».
Au plus tu rentres en toi, au mieux tu sais à qui tu as à faire et tout ce qui peut se passer à l’intérieur de ton monde à toi !
Et c’est à cet endroit-là que tu reprends ton pouvoir sur ta fin du monde.
Si tu souhaites remplir ce monde-là d’amour, je t’invite à suivre la pratique simple en 4 étapes que je te propose ICI.
Et pourquoi pas, devenir une prêtresse de l’amour !